Débat: l’évolution de l’agriculture dans la Zone de Mali Sud

Éditorial Editorial Sur le terrain Libéralisation des exportations de cacao Sylvia Serbin Premier producteur mondial de cacao avec 1 200 000 tonnes, la Côte d’Ivoire a autorisé les organisations paysannes à se lancer dans l’exportation à compter de la campagne 1999-2000. Un enjeu auquel les planteurs ne sont pas forcément préparés Les filières coton d’Afrique en pleine mutation Sylvia Serbin Dans un numéro spécial sur la libéralisation des filières coton en Afrique sub-saharienne, l’Echo des cotonniers nous éclaire…

Débattre des enjeux de développement

Premier producteur mondial de cacao avec 1 200 000 tonnes, la Côte d’Ivoire a autorisé les organisations paysannes à se lancer dans l’exportation à compter de la campagne 1999-2000. Un enjeu auquel les planteurs ne sont pas forcement préparés.

Dans un numéro spécial sur la libéralisation des filières coton en Afrique sub-saharienne, l’Echo des cotonniers nous éclaire sur les enjeux de grandes manœuvres en cours, d’où les organisations paysannes entendent pas rester absentes.

Outre la défense du paysan burkinabé, le CCOF, vise à s’imposer dans les négociations agricoles internationales comme un représentant de référence d’OP africaines.

Hamadou Harouna a 32 ans. Depuis plus de cinq an, il sillonne Niamey et ses environs pour vendre des ouvrages et des fascicules sur le développement rural.

Visant à répercuter vers les opérateurs du Nord des témoignages de bénéficiaires de programmes d’aide, les dossiers débats du Grad ont accordé une écoute particulière aux Femmes. Ces interviews réalisées dan la zone du Sahel disent toutes les difficultés qu’elles rencontrent du fait de leur statut.

Depuis sa création, l’Inter-Réseaux a animé différents groupes de travail dans le domaine du développement rural, dont la vocation était de susciter des analyses, des échanges d’expériences et une réflexion d’ensemble sur les pratiques de la coopération Nord-Sud.

En cette fin de siècle si fécond en réflexions sur la réforme de l’Aide publique au développement, il semblerait bien que la tendance soit plutôt aux renforcements des conditionnalités, à la réduction des engagements en volume et en durée, voire au gel de certains programmes. Au point que les acteurs du développement s’interrogent sur le sens de cette mutation, après plusieurs décennies de coopération intensive. En guise de contribution à ce débat, l’Inter-Réseaux a organisé, les 28 et…

“Nous ne voulons plus être tenus à l’écart des décisions concernant nos activités”

“Nous ne voulons pas de méthodes trop éloignées de ce que nous connaissons tous les jours”