En 2020, les autorités togolaises permettait au Singapourien Olam de racheter complètement la Nouvelle Société cotonnière du Togo. Trois ans après l’acquisition, les promesses de meilleur rendement ne sont pas au rendez-vous, comme l’explique Koussouwè Kouroufei, président de la Fédération nationale des groupements des producteurs de coton, dans un entretien à Afrique Agriculture.