Alors que les prix des contrats futurs sur le cacao continuent de progresser, atteignant des niveaux records, les planteurs de Côte d’Ivoire, premier producteur mondial, se retrouvent dans une position d’attente. La prochaine fixation des prix d’ici avril déterminera l’impact de cette tendance sur leurs revenus. Pour l’instant, ils ne profitent que peu de la remontée des prix, tandis qu’ils pourraient avoir besoin de plus de ressources pour améliorer leur productivité.