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Auteur avec Laurence Roudart d’une monumentale « histoire des agricultures du monde », Marcel Mazoyer, enseignant et chercheur à l’Institut National agronomique de Paris-Grignon, explique pourquoi il faut protéger de la concurrence les agricultures les plus vulnérables
Éditorial Une nouvelle coopération française Gérard Winter Nord-Sud Les agricultures africaines à l’épreuve Yves Hardy Suppression progressive des droits de douane pour parvenir à la liberté totale des échanges de biens ou de services : les objectifs de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) doivent aussi s’appliquer au secteur agricole, qui a commencé de se libéraliser. L’agriculture de l’Afrique peut-elle survivre à l’ouverture totale des frontières ? « Creer des marchés communs entre pays à productivités agricoles comparables » Marcel Mazoyer…
Le gouvernement français vient de réorganiser son dispositif de coopération. Le secrétariat d’État à la Coopération et à la francophonie va être intégré au ministère des affaires étrangères et à la caisse française de développement – la CFD – devient l’Agence française de développement. Elle voit ses attributions élargies puisque l’essentiel des projets et des programmes d’études sur le développement lui sera désormais confié.
Suppression progressive des droits de douane pour parvenir à la liberté totale des échanges de biens ou de services: les objectifs de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) doivent aussi s’appliquer au secteur agricole, qui a commencé de se libéraliser. L’agriculture de l’Afrique peut-elle survivre à l’ouverture totale des frontières ?
Auteur avec Laurence Roudart d’une monumentale « histoire des agricultures du monde », Marcel Mazoyer, enseignant et chercheur à l’Institut National agronomique de Paris-Grignon, explique pourquoi il faut protéger de la concurrence les agricultures les plus vulnérables
Mis en place il y a trois, le réseau APM (Agriculture paysanne et modernisation) couvre aujourd’hui une quinzaine de pays africains. De passage à Paris au siège de l’Inter-réseaux, Bara Goudiaby, animateur du pôle Afrique de l’Ouest, explique les objectifs de cette organisation.
Faibles rendements et pertes après récoltes résultent parfois d’une mauvaise informations des paysans. Comment y remédier? Quel support utiliser ? Difficultés et tentatives de solution au Vietnam.
Depuis sa création, il y a deux ans, neuf thèmes ont fait l’objet d’un travail approfondi dans l’Inter-Réseaux. Parmi eux, un nouveau sujet en chantier: la production et la circulation de l’information dans le monde rural. Le point sur le calendrier et les échéances de ces travaux.
Des paysannes plus instruites et confiantes: au Burkina Faso, l’alphabétisation donne du pouvoir aux femmes. Un nouveau statu que les hommes acceptent avec un mélange de crainte et de fierté.
Agriculteur et responsable de l’Unag (Union nationale des agriculteurs et éleveurs), principal syndicat paysan du Nicaragua, Sinforiano Caceres coordonne l’activité d’une association qui regroupe des syndicats de plusieurs pays, l’Association d’organisations paysannes centre-américaines pour la coopération et le développement (Asocode).
Une aide indispensable mais qui devrait être mieux ventilée: c’est la conclusion d’une étude menée au Niger par une ONG local sur l’aide au secteur agricole en Afrique subsaharienne. Les paysans interrogés ont l’impression de recevoir des « miettes » de cette aide.
Implantées dans des zones agricoles pauvres, certaines organisations paysannes doivent trouver des financement extérieurs pour fonctionner. Une sociologue analyse leur stratégie au Burkina Faso.
Les membres de l’Inter-Réseaux doivent disposer d’un outil facilitant leurs contacts. C’est le but des annuaires par pays qui ont commencé à être publiés.