Le dispositif sécuritaire sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) du Burkina est peu ou mal connu des acteurs de l’administration publique et même de la population. Et cela favorise, à n’en pas douter, la circulation des mauvaises ou fausses informations sur les OGM. Pour palier à cette situation, l’ANB a tenu à instruire le personnel du ministère des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique à travers un atelier d’information sur les raisons de l’introduction de la biotechnologie dans l’agriculture, le cadre national en matière de sécurité en biotechnologie et la législation nationale.