Le 14 septembre 2021, des soldats et des gardes industriels de la République démocratique du Congo (RDC) des Plantations et Huileries du Congo (PHC) auraient détruit des dizaines de maisons, “commis des pillages systématiques dans plusieurs villages, y compris la torture et l’enlèvement de civils des communautés entourant les plantations. Quelques mois plus tard, en janvier 2022, l’ONG locale RIAO-RDC a rapporté qu’après qu’un groupe de travailleurs de la PHC à la plantation de Boteka se soit mis en grève pour protester contre les mauvais salaires, la PHC a fait appel à la police et à l’armée qui ont ouvert le feu sur les manifestants, blessant grièvement deux travailleurs. D’autres évènements antérieurs montrent que l’entreprise a une responsabilité dans la violence structurelle infligée à la communauté.

Cet article met les violences du présent en miroir avec l’histoire des plantations de palmier à huiles au Congo, de l’action de l’entreprise et de la colonisation. Il montre aussi comment des investisseurs de premier plan profitent du vol de terres et des violations des droits de l’homme (et renvoie à ce propos à un rapport paru en février 2022 à retrouver ici).

L’ensemble de ces ressources ne sont disponibles qu’en anglais.

 

 

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