D’ici 2050, les températures auront trop fortement et trop rapidement augmenté sous l’effet du changement climatique pour permettre à l’Afrique sub-saharienne d’adapter ses pratiques agricoles, selon une étude internationale.
Les auteurs sont “particulièrement inquiets” pour le Sénégal, le Tchad, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et la Sierra Leone, “où les conditions futures n’auront rien à voir avec ce que (les cultivateurs) ont jamais connus”, indiquent-ils.