300 personnes, parmi lesquelles des chercheurs, des décideurs politiques et des représentants d’institutions impliquées dans la promotion du développement agricole dans le monde, sont au chevet de l’Afrique sur les bords du fleuve Djoliba au Mali. Est-ce le début d’une vraie prise de conscience sur la nécessité d’inverser la dépendance de nos Etats ? Il faut l’espérer.