Lorsque le sous-comité du coton s’est réuni le 18 juillet 2005, un groupe de pays africains s’est dit déçu que d’autres membres n’aient pas réagi par écrit aux “modalités” proposées par le Groupe africain. L’Union européenne a répondu qu’elle avait réagi à la proposition lors de réunions antérieures et déjà proposé formellement des actions plus rapides sur les parties d’un accord sur l’agriculture qui porteraient sur le coton. Les États-Unis ont décrit les mesures qu’ils prenaient pour éliminer les subventions qui avaient été jugées illégales dans le cadre d’un récent différend. Le résumé de la réunion en anglais sur le site de l’OMC.
http://www.wto.org/french/news_f/news05_f/cotton_18july05_f.htm
Rappel :
Les propositions d’éléments de modalités dans le cadre de l’initiative sectorielle en faveur du coton présentées par le groupe africain le 19 avril 2005 qui concernaient : l’accès aux marchés, l’élimination des mesures de soutien et des subventions à l’exportation, la création d’un fonds d’urgence.
http://docsonline.wto.org/DDFDocuments/u/tn/ag/SCCGEN2.doc
La création du sous-comité Coton : les membres de l’OMC ont établi, le 19 novembre 2004, un organe chargé spécifiquement de la question du coton dans le cadre des négociations sur l’agriculture. L’accord sur la création d’un organe chargé spécifiquement de la question du coton est l’un des éléments de la réponse que les gouvernements membres de l’OMC ont donnée aux propositions de quatre pays africains – Bénin, Burkina Faso, Mali et Tchad – concernant ce secteur (la proposition sur le coton, qui inclut également des questions de développement, est aussi examinée au Conseil général.)
http://www.wto.org/french/news_f/news04_f/sub_committee_19nov04_f.htm
Dagris, la “Vieille dame fringante”<br> L’Intelligent, P. Airault, 10 juillet 2005
Dagris reste le principal opérateur coton en zone franc, mais près de 34 % du chiffre d’affaires du groupe est dorénavant réalisé en Asie. Si la production et le négoce de coton restent son cœur de métier, Dagris diversifie ses activités dans le secteur des oléagineux, notamment en direction du Brésil. A moins de six mois de la privatisation de l’ex-Compagnie française pour le développement des fibres textiles, son patron, Gilles Peltier, se veut rassurant : les repreneurs devront souscrire aux valeurs de l’entreprise.
http://www.jeuneafrique.com/gabarits/articleJAI_online.asp?art_cle=LIN10075vieiletnagn0