C’est une annonce aux allures de coup de tonnerre dans un environnement où les multinationales sont habituées à une relative impunité. La Procureure générale de la Cour pénale internationale Fatou Bensouda a affirmé le 15 septembre 2016 dans un document de politique générale sur “la sélection et la hiérarchisation des affaires” que les destructions de l’environnement et les accaparements de terres seront désormais traités comme des crimes contre l’humanité.