La certification des produits agricoles africains bat son plein, portée par la demande des pays développés. Cette agriculture pour l’export est encouragée par les États du continent puisqu’elle est censée générer recettes et emplois. Mais ces labels, tous conçus en dehors de l’Afrique, font débat depuis des années.
Cet article revient dans un premier temps sur l’opportunité qu’offre la certification d’un accès à des marchés à fort pouvoir d’achat. Dans un second temps, il souligne les limites, sur le plan environnemental mais aussi au regard de la rémunération des producteurs.