Cette note analyse les effets du règlement européen 2018/848 sur les groupements de petits producteurs des pays du Sud. Elle alerte sur les coûts accrus, les restructurations imposées et les risques de dé-certification, mettant en péril l’inclusion des petits producteurs dans les filières bio. Elle propose de reporter l’application à 2026, de réduire les surcoûts, de garantir la propriété des certificats aux producteurs et d’instaurer un dialogue inclusif sur les règles.




