Développé à la fin des années 1990 avec pour but de poser un cadre opérationnel pour l’identification et la reconnaissance institutionnelle
d’espaces en communs, le POAS (Plan d’Occupation et d’Affectation des Sols) apparait aujourd’hui comme le produit de vingt ans d’apprentissage sur
la rive gauche de la vallée du fleuve Sénégal. Cet outil original d’appui aux collectivités territoriales s’est installée durablement dans toute la sous-région, et a permis de légitimer un usage en communs de certains espaces (en particulier sylvopastoraux)