Le pastoralisme, ce mode d’élevage extensif pratiqué par des peuples nomades, fournirait plus de 80% des ruminants domestiques au Burkina. Mieux, et selon des spécialistes, l’élevage (de façon générale), troisième produit d’exportation du Burkina, contribue à 12% au produit intérieur brut (PIB) pour plus de 26% des recettes d’exportation. Cependant, ce secteur, le pastoralisme notamment, éprouve de nombreuses difficultés qui engagent son avenir. Dans cet entretien, le coordonnateur de la faitière des organisations de la société civile de défense et de promotion du pastoralisme (la Plate-forme d’actions pour la sécurisation des Ménages pastoraux, PASMEP), René Millogo nous plonge dans les réalités de ce domaine et plaide sa cause.
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