Les représentants des organisations paysannes (OP) et des sociétés civiles vont-ils se saisir de la Décennie de l’Agriculture familiale (lancée à Rome du 27 au 29 mai 2019) pour faire reconnaître leurs droits, leur rôle et leurs capacités ?
Ils devront en tous les cas compter avec la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, qui est une institution incontournable pour faire avancer la cause paysanne. Mais quelles sont les réelles marges de manœuvre de la FAO ?
Selon Pierre-Marie Bosc, le cœur de la question réside dans une absence de reconnaissance claire du rapport de force déséquilibré qui existe entre le secteur privé international et l’agriculture familiale.
Lire l’entretien : ici->https://www.sosfaim.be/27418/lagriculture-familiale-a-la-fao-utopie-ou-realite/]