La question foncière est au cœur des débats sur le pastoralisme. La difficile application des textes et dispositions juridiques existants entraine des conflits entre éleveurs d’une part, et entre éleveurs et agriculteurs d’autre part. Par conséquent, certains États veulent fermer leurs frontières aux transhumants.

L’AREN a instauré un service juridique pour répondre à ces enjeux au Niger. Comment travaillent-ils et quel bilan en tirer ? Inter-Réseaux a rencontré Nasser Sani Baaré, le conseiller juridique de l’Association pour la redynamisation de l’Elevage au Niger (Aren).

  • FICHIER n°1 : Le travail de jursite au sein de l’AREN
  • FICHIER n°2 : Dans quelle mesure cette initiative nationale nigérienne est novatrice ?
  • FICHIER n°3 : Qui sont les acteurs de l’accaparement des terres à vocation pastorale ?
  • FICHIER n°4 : Le Code Pastoral nigérien et les autres textes de loi
  • – FICHIER n°5 : Comment expliquer cette inapplication des dispositions juridiques nationales ?
  • FICHIER n°6 : La transhumance étant par essence transfrontalière, comment appliquer le droit de façon uniforme ?
  • FICHIER n°7 : Assiste-t-on à une politisation des dossiers d’accaparement des terres pastorales en justice ?
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