Suite aux difficultés qu’ont connu les producteurs de tomates burkinabé, les organisations faîtières réagissent et ont tenu une conférence de presse pour expliquer que la filière et les producteurs nagent en pleine incohérence : le ministère de l’Agriculture a fixé des objectifs d’augmentation de la production mais celui du commerce est resté vague sur ce qu’il faudrait en faire. Malgré les grandes déclarations sur l’intégration régionale et la liberté de circulation des produits, ce sont des collègues du pays voisins qui empêchent la commercialisation des tomates. La problématique des APE est également centrale.