La forte croissance de la demande ouest-africaine en riz n’est pas couverte par la production locale. D’où le recours à l’importation du riz asiatique aux conséquences certaines sur les réserves en devises des pays concernés. Pendant que certains pays s’essayent à l’autosuffisance, d’autres poursuivent d’importer des quantités au delà de leurs besoins.
Comment des pays liés par un Tarif Extérieur Commun (TEC) peuvent nourrir tant de disparités dans les procédures et les normes fixant la qualité des marchandises alimentaires importées dans la communauté ? L’article rappelle ’importance d’une approche sousrégionale du contrôle de la qualité des marchandises entrant dans la zone CEDEAO.
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