Nous utilisons des cookies pour collecter et analyser des informations sur les performances et l'utilisation du site, et pour améliorer et personnaliser le contenu. Pour en savoir plus, consultez notre politique de confidentialité.
Pour les participants, des innovations apparaissent en réponse à des problèmes directement ressentis par les paysans, s’il existe un contexte ou des occasions favorables et, surtout, si des hommes et des femmes s’engagent pour améliorer leur situation.
Adhésion du Sénégal au G20 ? La Fédération des ONG sénégalaises (la Fongs) a eu à donner son avis sur cette éventualité, à la demande du ministère du Commerce. Quelques extraits de ses réflexions.
Un grand nombre d’organisations paysannes (OP) a pour objectif la mise en place de différents services pour répondre aux besoins de leurs membres, notamment l’approvisionnement en intrants, la commercialisation des produits agricoles et des conseils techniques ou de gestion.
Lors de la rencontre de Ségou, les innovations ont pour la plupart porté sur les fonctions des organisations paysannes. Cependant, quelques-unes concernant les pratiques culturales ont également été présentées, comme la fabrication de compost à base de jacinthe d’eau par les maraîchers du Niger, des innovations pour améliorer la fertilité des sols de paysans du Cameroun et l’amélioration de la fertilité des sols via la pratique du « zaï », innovation qui fait l’objet de cette présentation.
La Foire-Atelier de Ségou a été l’occasion de braquer les projecteurs sur des innovations paysannes (et souvent de les faire découvrir) et sur le rôle des organisations paysannes dans le développement et la diffusion de celles-ci.
Les participants ont mis en avant quatre conditions favorables à la continuité des innovations et ont insisté sur certaines qualités spécifiques que celles-ci doivent avoir et sur l’importance du bon fonctionnement des OP.
« La recherche et les chercheurs doivent changer d’attitude en reconnaissant le savoir paysan, leurs pratiques d’expérimentation et s’engager avec eux dans une recherche conjointe. » Voici la seule phrase du document des conclusions de la Foire-Atelier de l’innovation paysanne de Ségou qui mentionne la recherche.
Pour les participants, des innovations apparaissent en réponse à des problèmes directement ressentis par les paysans, s’il existe un contexte ou des occasions favorables et, surtout, si des hommes et des femmes s’engagent pour améliorer leur situation.
L’intérêt et la qualité de l’innovation doivent favoriser sa diffusion si des canaux et des supports d’information sont accessibles et adaptés aux populations rurales.
Personne ne peut l’ignorer; l’activité agricole est celle qui fait vivre80% de la population de Yaka, située à 550 km au sud-ouest de kinshasa dans le territoire de Kasongo-Lunda en République démocratique du Congo. Ce sont les femmes qui sont traditionnellement chargées de la production agricole.
Participant depuis l’origine à l’Initiative de Neuchâtel (voir encadré page 12), le Fida (Fonds international pour le développement de l’agriculture) a entrepris en 2001 un travail d’évaluation de la composante vulgarisation agricole de ses projets sur l’Afrique de l’Ouest. Ce travail a été l’occasion de porter un regard sur un ensemble de programmes, dont certains se rapprochaient plus de la vulgarisation classique (schématiquement : un modèle centré sur les transferts aux agriculteurs de technologie élaborées par les chercheurs…
Un certain nombre d’innovations ont été présentées lors de la foire-atelier qui s’est tenue à Ségou au Mali en mars 2004. Comment ont-elles été choisies ?
L’agriculture familiale de beaucoup de zones rurales d’Amérique centrale vit une situation alarmante. Plusieurs productions pratiquées par les petites et moyennes exploitations sont en crise ou très gravement menacées
Après un triste état des lieux sur le sida, Sergot Jacob s’interroge sur les rôles que pourraient tenir les organisations paysannes dans la prévention de la pandémie et quelle méthodologie employer.
Cette fiche technique du Guide pratique des consultants, du Centre suisse de vulgarisation agricole sur la vulgarisation éclaire certains thèmes abordés dans le dossier de ce numéro de Grain de sel: « la foire aux innovations paysannes ».
Au sens le plus large, l’innovation est l’introduction de « quelque chose » d’encore inconnu. Pendant longtemps, l’innovation était surtout considérée sur le plan technique (pratiques culturales, semences, matériels…). L’innovation résultait des travaux de la recherche et devait ensuite être transférée en direction des producteurs par les systèmes de vulgarisation ou les projets de développement. La faiblesse des résultats obtenus, par rapport aux défis de l’accroissement de la productivité, de la lutte contre la pauvreté ou de la…
L’avenir des agricultures africaines est de plus en plus difficile à cerner : nouveaux rapports de force de la mondialisation avec l’écart fréquent entre discours et pratiques, incertitudes des États, urbanisation croissante, polyactivité des ruraux, dégradation des ressources naturelles, concurrence entre les agricultures familiales et les nouvelles entreprises agricoles…
Voici l’une des fiches techniques produites à la suite de l’étude de travail sur l’&valuation des processus d’accompagnement des Op mené au sein de l’inter-reseaux.
Editorial Pour une nouvelle dynamique de l’Inter-Réseaux Sur le Terrain Sida et développement rural en Haïti Sergot Jacob Après un triste état des lieux sur le sida en Haïti, Serge Jacob s’interroge sur les rôles que pourraient tenir les organisations paysannes dans la prévention de la pandémie et quelle méthodologie employer. Résolutions de l’atelier national de la Fédération des femmes rurales de malagasy (FVTM) Extrait du mensuel Paysan en action, journal des paysans de Madagascar, N°25, octobre 2003…