_ Élevage et marché régional au Sahel et en Afrique de l’Ouest : Potentialités et défis
CEDEAO, OCDE, CSAO, 2008, 182 p.
En français
http://www.oecd.org/dataoecd/37/51/40279092.pdf (fr)
En anglais
http://www.oecd.org/dataoecd/10/8/41848366.pdf (en)
Note aux décideurs n°1 : Valoriser les complémentarités régionales en matière d’élevage : Un levier pour mieux répondre à la demande croissance de produits animaux au Sahel et en Afrique de l’Ouest
http://www.oecd.org/dataoecd/46/22/38403293.pdf (fr)
Note aux décideurs n°2 : Mettre en œuvre des politiques commerciales renforçant le marché régional de produits animaux
http://www.oecd.org/dataoecd/46/23/38403269.pdf
Note aux décideurs n°3 : Promouvoir et accompagner la transformation du pastoralisme transhumant dans les pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest
http://www.oecd.org/dataoecd/46/24/38403248.pdf
Note aux décideurs n°4 : Renforcer le rôle des acteurs et des professionnels de l’élevage : une nécessité pour dynamiser le commerce régional
http://www.oecd.org/dataoecd/46/25/38403217.pdf
Note aux décideurs n°5 : Les sciences et technologies : une réponse aux défis futurs de l’élevage
http://www.oecd.org/dataoecd/46/26/38403102.pdf
Note aux décideurs n°6 : Transformation agro-alimentaire des produits animaux : Un impératif pour le renforcement du commerce intra et extra régional
http://www.oecd.org/dataoecd/42/60/38768832.pdf
Improving livestock marketing and intra-regional trade in West Africa : determining appropriate economic incentives and policy framework – Amélioration de la commercialisation et du commerce intra-régional du bétail en Afrique de l’Ouest : déterminer des incitations économiques et un cadre stratégique appropriés
T.O. Williams, B. Spycher, I. Okike, CFC, CILSS, ILRI, 2006, 124 p.
Dans le cadre d’un projet du Fonds commun pour les produits de base (CFC) intitulé « Amélioration de la commercialisation et du commerce intra-régional du bétail en Afrique de l’Ouest », mis en œuvre par le Comité permanent inter-État de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS) en partenariat avec l’Institut international de recherche sur l’élevage (ILRI), un rapport sur les contraintes économiques, politiques et institutionnelles qui entravent politiques économiques le commerce transfrontalier du bétail. Ce rapport doit permettre de dégager et de suggérer de nouvelles initiatives en faveur du commerce intra-régional du bétail. L’étude a porté sur le Burkina Faso, le Mali, le Niger (exportateurs nets de bétail) et le Ghana, le Nigeria, la Côte d’Ivoire (importateurs nets).
Le rapport : http://www.fao.org/fileadmin/templates/agphome/images/iclsd/documents/wk2_c7_gerard.pdf
Quatre synthèses destinées aux décideurs reprennent les résultats clés de ce rapport :
Synthèse 1 : La commercialisation du bétail en Afrique de l’ouest : opportunités et contraintes
T.O. Williams, I. Okike, I. Baltenweck, C. Delgado, , CFC, CILSS, ILRI, 2004, 4 p.
Cette synthèse présente les résultats d’un atelier de travail régional organisé par l’ILRI en 1999, sur les options politiques quant à la réorganisation du commerce transfrontalier du bétail. Bien qu’importateurs et exportateurs soient inter-dépendants sur la question du commerce transfrontalier de bétail, leurs politiques sont contradictoires. Les pays importateurs encouragent les politiques de protection des éleveurs locaux et les programmes de développement pour stimuler la production nationale et assurer la sécurité alimentaire en produits d’élevage, ce qui a des effets néfastes pour les pays exportateurs qui eux, encouragent les politiques de commercialisation transfrontalière. D’où la nécessité de simplifier et d’harmoniser les politiques et de les mettre en œuvre de façon concertée. Deux groupes de travail ont été mis en place. Le premier a travaillé sur « les rôles des gouvernements, la pertinence des politiques existantes et les mécanismes d’harmonisation des politiques », le second sur « les intrants et les services requis pour augmenter la profitabilité du commerce transfrontalier du bétail ». Chaque atelier a mis en évidence les domaines où la coopération a avancé et ceux où il reste encore beaucoup à faire, notamment en terme de lutte contre les pratiques illégales, d’harmonisation des frais et taxes officielles, de mise en place de normes, d’un système d’information des marchés efficace, etc.
La synthèse en français : http://mahider.ilri.org/bitstream/10568/2053/1/WestAfrLivestock1-Fr.pdf (fr)
La synthèse en anglais : http://mahider.ilri.org/bitstream/10568/1593/1/WestAfrLivestock1-Eng.pdf (en)
Synthèse 2 : Les circuits de distribution, les flux et les prix du bétail en Afrique de l’Ouest
I. Okike, T.O. Williams, B. Spycher, S. Staal, I. Baltenweck, CFC, CILSS, ILRI, 2004, 4 p.
Cette seconde synthèse se fonde sur une étude de l’ILRI réalisée entre 2000 et 2001 visant à identifier les contraintes économiques, institutionnelles et politiques de la commercialisation transfrontalière du bétail en Afrique de l’Ouest. Des marchés à bestiaux transfrontaliers (au Mali et au Burkina Faso) ont été étudiés pour identifier les circuits de distribution du bétail, de l’exploitation agricole jusqu’aux marchés finaux dans les pays côtiers (Côte d’Ivoire, Ghana, Nigeria). L’étude s’intéresse aussi aux flux de bétail et aux opérateurs économiques, aux variations saisonnières et aux facteurs déterminants les prix. Au final, l’étude note que les producteurs réalisent davantage de bénéfices lorsqu’ils traitent directement avec les exportateurs, et qu’il convient donc de mieux les informer sur les prix du marché. De même, il faudrait développer l’embouche du bétail pour stimuler les flux en période creuse (octobre à mars). Enfin, les commerçants accordent une prime aux animaux en excellente forme physique, ce qui permet d’espérer une augmentation des revenus de l’ordre de 40% pour les éleveurs.
La synthèse en français : http://mahider.ilri.org/bitstream/10568/1703/1/WestAfrLivestock2-Fr.pdf (fr)
La synthèse en anglais : http://mahider.ilri.org/bitstream/10568/1774/1/WestAfrLivestock2-Eng.pdf (en)
Synthèse 3 : La réduction des frais transfrontaliers de transport et de manutention du bétail en Afrique de l’Ouest
I. Okike, B. Spycher, T.O. Williams, I. Baltenweck, CFC, CILSS, ILRI, 2004, 4 p.
Le commerce intra-régional du bétail en Afrique de l’Ouest est dominé par le commerce d’animaux vivants ; le commerce de la viande vient en second, avec des volumes nettement moindres. Les auteurs notent que la compétitivité des exportations du Sahel vers les marchés côtiers est en danger. Quels coûts sont occasionnés par le transport des animaux ? Quelles réductions de ces coûts sont possibles ? La synthèse établit une liste des coûts engendrés par le commerce (au niveau national puis transfrontalier), et note que 50% des frais sont liés aux frais de transport et de manutention. Les auteurs préconisent de maintenir les coûts actuels au niveau du circuit national en le protégeant via le développement d’un cadre juridique. Au niveau transfrontalier, il faut : améliorer la disponibilité des camions, éliminer les taxations illégales, réduire les coûts légaux, encourager la transformation du bétail à valeur ajoutée. Au final, producteurs et commerçants s’en sortiraient mieux, tandis que le consommateur et l’État pâtiraient chacun d’une hausse des prix à la vente et d’une diminution des recettes de taxes.
La synthèse en français : http://mahider.ilri.org/bitstream/10568/1578/1/WestAfrLivestock3-Fr.pdf (fr)
La synthèse en anglais : http://mahider.ilri.org/bitstream/10568/1932/1/WestAfrLivestock3-Eng.pdf (en)
Synthèse 4 : Encourager la commercialisation et le commerce intra-régional du bétail en Afrique de l’Ouest
I. Okike, T.O. Williams, I. Baltenweck, CFC, CILSS, ILRI, 2004, 4 p.
La production du bétail au Sahel est compétitive au niveau mondial avec un coût de 1 500 US$ par tonne (contre 3 100 US$ en Europe) pour un prix mondial de 1 900 US$ en 2001. Mais les problèmes de commercialisation dans la région affaiblissent cette compétitivité: compétitivité insuffisante au niveau des commerçants exportateurs qui réalisent des marges de l’ordre de 2 à 5 par rapport au circuit national ; des frais de transport et de manutention élevés (cf. synthèse 3) ; des bovins dans un état physique insuffisant en termes de qualité de la viande (cf. synthèse 2) ; un manque de communication des prix entre les différents marchés et une information insuffisante des producteurs et des commerçants (cf. synthèse 1). Pour faire face à ces problèmes, de petites « sociétés de services » aux marchands se sont crées : intermédiaires individuels (permettent de réduire les coûts et d’améliorer le nombre de transactions réussies) ; sociétés de convoyage qui réduisent les frais illégaux en assurant les obligations légales de transport ; associations de commerçants en bétail pour faire face aux difficultés des commerçants (capables de trouver rapidement des camions, de résoudre des problèmes administratifs, de nourrir le bétail à prix plus avantageux, etc.). Enfin, la synthèse note que les politiques commerciales ont aussi un impact, et leur manque d’implication actuel dans les questions de commerce du bétail transfrontalier fait que les coûts demeurent difficilement maîtrisables et que les taxations illégales perdurent.
La synthèse en français : http://mahider.ilri.org/bitstream/10568/1783/1/WestAfrLivestock4-Fr.pdf (fr)
La synthèse en anglais : http://mahider.ilri.org/bitstream/10568/1702/1/WestAfrLivestock4-Eng.pdf (en)
Les flux transfrontaliers du bétail camerounais et du bétail tchadien en transit vers le Nigeria
J. Engola-Oyep, J. Herrera, 18 p.
http://www.dial.prd.fr/dial_publications/PDF/Doc_travail/1997-03.pdf (fr)
Atelier régional “Échanges régionaux de bétail entre Nigeria et pays voisins”
L. Liagre, IRAM, mai 2004, 114 p.
http://www.iram-fr.org/documents/commerce_betail_nigeria_vl.pdf
