Si les oiseaux sauvages migrateurs ont été désignés comme vecteurs potentiels du virus, les premières campagnes de prélèvements réalisées en janvier 2006 n’ont révélé aucune trace de virus H5N1 hautement pathogène sur ces volatiles. Par contre, on sait maintenant que les circuits commerciaux, légaux et illégaux jouent un rôle majeur dans la diffusion de la maladie dans un pays.