C’est en quelques sortes le revers de la médaille des performances économiques. Tous les secteurs d’activités développés dans la région de Souss (agriculture, tourisme, industries…) mobilisent des quantités énormes d’eau émanant essentiellement des nappes phréatiques, surexploitées. Les agriculteurs sont les premières victimes et « des gens commencent à quitter leurs fermes ». La situation est jugée alarmante, 90 % des ressources mobilisables en eau le sont déjà au Maroc. Ayant prouvé son efficacité, la politique des barrages commence à atteindre ses limites d’autant que la construction de barrages ne fabrique par l’eau.