Le concept à multiples facettes des « zones et périodes grises » interpelle à la fois le géopoliticien, l’acteur humanitaire et le juriste. La gestion « politique » de ces situations complexes et celle de leurs répercussions humanitaires représentent des défis considérables, tant méthodologiques et éthiques qu’opérationnels.
Il s’agit d’abord d’éclaircir le débat par un premier positionnement sémantique. Certains conflits contemporains trouvent une conclusion heureuse. Dans ces contextes, on appelle « périodes ou zones grises » le laps de temps qui relie la crise et la période post-crise.
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