Une étude publiée par la revue Nature mi octobre montre, grâce à la technologie de l’intelligence artificielle que le Sahel et le sud du Sahara comptent une densité d’arbres étonnamment élevé, et « remet en question l’idée prévalente de désertification des zones sèches ».
Une grande partie des arbres et arbustes des zones sèches poussent de manière isolée et jouent un rôle crucial dans la biodiversité en fournissant des services écosystémiques tels que le stockage du carbone, des ressources alimentaires et un abri pour les hommes et les animaux. La plupart des intérêts publics relatifs aux arbres sont consacrés aux forêts, et les arbres non forestiers ne sont aujourd’hui que trop peu documentés.
Cette étude, en utilisant une méthode inédite, offre un moyen de surveillance les arbres en dehors des forêts au niveau mondial et l’opportunité d’étudier leur rôle dans l’atténuation du changement climatique et de la pauvreté.
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