The content bellow is available only in French.

publié dans Ressources le 3 août 2012

Politique humanitaire : besoins, déficits et résilience

reliefweb.int

Crise alimentaireSahel

Accéder à la ressource

Selon Peter Gubbels, auteur du dernier rapport du Groupe de travail sur le Sahel (GTS), intitulé Ending the Everyday Emergency : children and resilience in the Sahel, la résilience est le nouveau mot à la mode dans le domaine de l’aide humanitaire. Or, les progrès sont lents parce que les principaux acteurs ne s’entendent pas sur la façon de renforcer la résilience et que l’approche manque de cohérence, a noté M. Gubbels.
En dépit « des efforts sérieux » qui sont faits pour définir le concept de résilience, la confusion règne toujours au niveau international, a dit Mme Poole. Dans le Sahel, où quelque 18 millions de personnes sont confrontées à une grave crise et où un million d’enfants sont traités pour malnutrition aiguë, le GTS a dit que la résilience consisterait à soutenir l’agriculture à petite échelle, la mise en place de meilleurs services de santé et d’éducation, le renforcement de la gouvernance et la création de programmes de protection sociale comme les transferts d’espèces. Selon Global Humanitarian Assistance (GHA), on assiste actuellement à une augmentation de ces types de transfert : les bailleurs de fonds qui les financent sont en effet passés de six en 2006 à 21 en 2011.

Restez informé⸱e !

Abonnez-vous à nos publications et bulletins pour les recevoir directement dans votre boîte mail.

  • Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.

Autres articles qui pourraient vous intéresser