Réunis à Navrongo, ville frontalière du Ghana les 24 et 25 juin 2009, les producteurs de tomate burkinabè et ghanéens ont posé le diagnostic d’une filière porteuse, malheureusement, en panne. A l’unanimité, ils ont appelé à sa relance, en vue de favoriser l’intégration entre les deux pays, à condition que les industriels et les politiques emboîtent le pas…