Le nomadisme pastoral, un mode de vie millénaire reposant sur la mobilité au gré des saisons et des pâtures du bétail, tend à disparaître. « L’eau se fait rare. Les températures augmentent, la sécheresse sévit sans qu’on puisse faire grand-chose », lâche le nomade de la tribu amazigh (berbère) des Aït Aïssa Izem, un des témoins interrogé dans l’article.