L’année dernière, la distance, les visas, le coût élevé des frais de voyage, l’invisibilisation médiatique et le contexte sanitaire ont sapé la participation de la jeunesse africaine à la COP26 de Glasgow. Cette année tout se joue en Afrique, plusieurs sujets brûlants attendent des réponses, mais rien n’est gagné. Lire l’article de Yves-Landry Kouamé ici