La « résilience » ne doit pas être transformée en discipline technique ou en catégorie de l’aide. Cet argument est développé par Simon Levine dans sa courte note d’information qui explique pourquoi les actions dans le domaine de la résilience doivent se libérer des arguments techniques. Les obstacles au ciblage qui empêchent de mieux concevoir et demieux évaluer la pratique du développement, sont largement politiques et institutionnels./ Une approche conceptuelle et technique trop étroite risque de détourner l’attention de ce qui doit être fait et de ce qui pourrait être fait dans l’immédiat.
Source : Club du Sahel
Note d’information en anglais :
http://www.odi.org/sites/odi.org.uk/files/odi-assets/publications-opinion-files/9050.pdf