La fourniture de services de conseil et de vulgarisation coûte cher. Il faut payer les salaires, les frais de transport et les frais de fonctionnement, louer ou construire des bâtiments, entretenir des parcelles de démonstration et dispenser une formation continue au personnel de vulgarisation. Il faut en outre continuellement investir dans un système opérationnel d’innovations agricoles, épaulé par des institutions de recherche et d’enseignement performantes et des politiques habilitantes, ainsi que réaliser des investissements de capitaux dans l’infrastructure rurale qui ne bénéficie pas seulement à la population agricole. D’où ces fonds doivent-ils provenir et ces dépenses seront-elles rentables ?