La question de la disponibilité foncière ne doit pas être analysée en terme de superficie mais de ’’terres agricoles utiles’’, quand on se rend compte qu’entre 1960 et 2009 le Sénégal a perdu une bonne partie de ses surfaces relevant de la seconde catégorie, a affirmé le président d’honneur du Conseil national de concertation des ruraux (CNCR).