Jean-Cyril Dagorn chargé de plaidoyer chez Oxfam : « La première chose que je note, c’est que justement on n’en sait pas assez. C’est-à-dire que la plupart des contrats qui sont signés entre des entreprises étrangères ou des entreprises locales et les gouvernements en Afrique ne sont pas des contrats qui sont connus de la population locale ni au niveau internationale, donc on a très peu de visibilité sur ce qui se passe. »
Baba Seid Bally, le président de l’Association africaine pour la promotion des biocarburants : « Je pense que c’est vraiment une activité d’avenir si nous parlons du côté énergie, les biocarburants représente des énergies que nous contrôlons, donc des énergies moins chères et renouvelables… »