Cet article publié dans le International Journal of Sociology of Agriculture and Food (IJSAF), critique le solutionnisme technologique dans l’agriculture et l’alimentation, notamment les aliments dits « novateurs » et la digitalisation du secteur agricole. Il met en lumière les limites des approches technologiques qui prétendent répondre à la polycrise mondiale (environnementale, économique, sociale). L’auteur prône une vision plus holistique et transdisciplinaire, intégrant les dimensions sociales et culturelles de l’alimentation. Il propose une alternative centrée sur l’agroécologie et un renforcement de la participation citoyenne pour une transformation plus juste et durable du système alimentaire.