Une nouvelle menace plane sur la sécurité alimentaire du Bénin. Depuis 2006, des grands groupes financiers étrangers et parfois nationaux se ruent sur les terres cultivables béninoises. Le bradage qui se perpétue grâce au mutisme du gouvernement a déjà fait perdre des millions d’hectares à nos paysans. Un paradoxe pour un gouvernement qui prône la révolution verte.