La Plantation du Haut Penja, société détenue à 60% par la Compagnie fruitière et à 40 % par Dole et par des actionnaires privés camerounais, semble de plus en plus faire l’objet de critiques (mauvaises conditions de travail, accaparement des terres, eaux polluées par les intrants de la plantation, etc.). Des conflits d’intérêt semblent également apparaître en cascade au sein de cette société où économie et politique se mélangent étrangement bien (négociation APE).