Le dynamisme agricole de la Côte d’Ivoire continue de surprendre les marchés de matières premières, en particulier ceux du cacao et du caoutchouc. Le pays s’empare aussi de la place de premier producteur mondial d’anacarde. Comment interpréter ce boom ?
L’hypothèse de l’étude est que l’adoption de l’anacardier relève en partie d’une transition écologique d’adaptation à l’épuisement de la rente forêt et au changement climatique, au coût croissant des intrants chimiques pour le coton et le cacao, mais répond aussi à l’insécurité foncière.
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