Le secteur de la microfinance s’est consolidé dans les années 1990 et au début des années 2000 avec la double perspective d’être viable financièrement et de démontrer un réel impact social. Ce n’est que durant les 10 dernières années que des voix se sont élevées pour prendre également en considération le troisième pilier du développement, le volet environnemental.
L’approche en trois dimensions considère que le succès d’une IMF serait basé sur son comportement par rapport au profit (le financier), aux clients (le social) et à la planète (l’environnement)