Les marchés agricoles et alimentaires se financiarisent de manière spectaculaire. Les spéculateurs financiers occupent aujourd’hui 65% de ce marché ; tandis que les producteurs et commerçants physiques en constituent seulement 35%. Cette spéculation participe à l’augmentation de la volatilité et de la hausse tendancielle des prix des denrées avec les conséquences dramatiques que l’on connait pour les populations les plus vulnérables. Oxfam France montre avec ce rapport que de nombreuses banques françaises contribuent à cette spéculation.
Sur la thématique, voir aussi : Momagri : La financiarisation du secteur agricole de nouveau sous les projecteurs
http://www.momagri.org/FR/regards-sur-l-actualite/La-financiarisation-du-secteur-agricole-de-nouveau-sous-les-projecteurs_1209.html