“Nourrir le monde en 2050”, tel était le thème d’une réunion d’experts qui s’est déroulée à Rome, au siège de l’agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO), les 12 et 13 octobre. Comme de coutume en de pareilles enceintes, ce fut un subtil mélange de représentants des milieux académiques (mais de moins en moins qui s’intéressent à l’agriculture, en tout cas à ses aspects pratiques), de fonctionnaires nationaux ou internationaux à la recherche d’hypothétiques consensus, et de membres de la société civile.