Un des cas les plus célèbres de procès entre cultivateurs et firmes multinationales : en tenant Schmeiser responsable de la contamination de ses champs, sans avoir prouvé qu’il avait sciemment semé du canola appartenant à Monsanto, les tribunaux inférieurs laissent entendre que les cultivateurs devraient être capables de contrôler la nature et d’empêcher la pollinisation croisée, les semences portées par le vent et autres phénomènes météorologiques.