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publié dans Bulletins Inforiz le 6 juin 2011

Bulletin Inforiz – Mai 2011

Inter-réseaux

RizRevue - Bulletin

A la suite d’Oxfam, Inter-réseaux Développement rural publie tous les mois le bulletin Inforiz, spécialement dédié à cette production en Afrique (Madagascar inclus) et dans le monde.

Pour vous inscrire à ce Bulletin Inforiz, écrivez-nous à l’adresse suivante : inter-reseaux@inter-reseaux.org

BENIN

SIM – BENIN
AVRIL 2011 – http://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/resources/Rapport_complet_60.pdf
(Voir page 2 pour le riz produit localement et le riz importé)

BURKINA FASO

Baisse des prix des produits: Les commerçants reçoivent la compensation en riz
19 MAI 2011 – http://fr.allafrica.com/stories/201105200194.html
Dans la ville de Ouagadougou, plus de six cents (600) stocks de commerçants dont huit (08) importateurs de riz ont été relevés et l’Inspection générale des affaires économiques (IGAE) est toujours sur le terrain pour que tous les anciens stocks soient relevés. En attendant, la compensation en nature a commencé le 18 mai 2011. Selon la secrétaire générale du ministère du Commerce, Amélie Tamboura, son département, de concert avec le ministre des Finances et celui de l’Agriculture, s’attellent à l’opérationnalisation des décisions du gouvernement tombées le 8 mai 2011 pour baisser le prix des produits de grande consommation. Ainsi, les équipes de l’Inspection générale des affaires économiques (DGAE) sont à pied d’œuvre pour relever les stocks du riz, sucre, huile et savon acquis avant la décision pour régler la différence en nature (riz) et en espèces si le reste ne couvre pas le prix d’un sac de riz.

Vente de riz subventionné : Les boutiques-témoins de Ouagadougou fonctionnelles
19 MAI 2011 – http://www.lefaso.net/spip.php?article42096
Sur initiative de ministère en charge de l’Agriculture, le maire de la commune de Ouagadougou, Simon Compaoré et le directeur général de la SONAGESS, Charles Sawadogo, ont organisé une tournée d’identification des boutiques-témoins de vente de riz, C’était le mercredi 18 mai 2011, à travers les cinq arrondissements de Ouagadougou.
Du riz local à 7 500 F CFA le sac de 25 kg et 15 000 F CFA, celui de 50 kg. C’est l’une des mesures prises par le gouvernement pour faire face à la vie chère. Mais où trouver ce riz ? C’est la question que se posent bon nombre de citoyens. C’est pour résoudre cette équation que le maire de la commune de Ouagadougou, Simon Compaoré, accompagné du directeur général de la Société nationale de gestion du stock de sécurité (SONAGESS), Charles Sawadogo, a organisé une tournée d’identification des boutiques-témoins dans les cinq arrondissements de la commune.

FOIRE DES SEMENCES DE L’INERA
18 MAI 2011 – http://lepays.bf/?FOIRE-DES-SEMENCES-DE-L-INERA
La 2e édition de la foire des semences de variétés améliorées de plantes, organisée par l’Institut de l’environnement et de recherches agricoles (INERA), s’est déroulée du 13 au 15 mai 2011 à Ouagadougou. Placée sous le thème : “Contrôle de la qualité des semences végétales de variétés améliorées au Burkina Faso” Des types de semences du riz avec ses variétés FKR 19 et 43. Le FKR 43 est une variété de riz pluvial qui a un cycle de 100 jours avec un rendement de 4 à 5 tonnes à l’hectare. Le FKR 19 est un riz irrigué au bas-fond avec un cycle de 120 jours et un rendement de 5 à 6 tonnes à l’hectare.

La SONABHY et la CNSS ont de nouveaux DG ->La SONABHY et la CNSS ont de nouveaux DG
18 MAI 2011 – http://www.fasozine.com/index.php/societe/societe/6055-la-sonabhy-et-la-cnss-ont-de-nouveaux-dg
Le conseil des ministres s’est tenu le mercredi 18 mai 2011 en séance ordinaire à partir de 09 heures 00 sous la présidence de Son Excellence, Monsieur Blaise COMPAORE, Président du Faso, Président du conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu des communications orales, autorisé des missions à l’étranger et procédé à des nominations. II.3. Le ministre de l’Agriculture et de l’Hydraulique a fait au conseil le point des travaux des journées de programmation de la campagne agricole 2011 – 2012 tenues les 12 et 13 mai 2011 à Dédougou, dans la Région de la Boucle du Mouhoun.
Au cours de ces journées, les prévisions de production des filières agricoles ont été passées au peigne fin. L’objectif de production pour cette campagne est de 5 874 000 tonnes de céréales soit une progression de 26% par rapport à la campagne écoulée. Les plus forts taux d’accroissement sont attendus au niveau du riz avec 36% et du maïs avec 44%.

BAISSE DES PRIX DES PRODUITS DE GRANDE CONSOMMATION
16 MAI 2011 – http://lepays.bf/site/?BAISSE-DES-PRIX-DES-PRODUITS-DE
Il s’agit, entre autres, du sucre granulé, de l’huile et surtout du riz local dont le prix actuel est de 15 000 F CFA le sac de 50 kg et du riz importé. Concernant ce dernier produit, les commerçants ont revu à la baisse leur marge en ramenant le prix du sac de 50 kg du riz 25% brisure à 16 975 F CFA. Mais le gouvernement a décidé de le fixer à 16 000 F CFA en supportant les 975 F CFA à travers une subvention à hauteur d’un milliard de F CFA sur une période de 3 mois pour une consommation de 50 000 tonnes, a expliqué le ministre du Commerce.
Mais pourquoi cette baisse du prix du riz ne concerne pas toutes les variétés du riz ? La réponse est simple pour le ministre : le gouvernement ne peut pas subventionner toutes les catégories de riz car cela l’amènera à subventionner certains riz qui ne sont consommés que par des personnes nanties.
Mieux, dans les jours à venir, il y aura des boutiques- témoins dans les 45 provinces du Burkina pour permettre aux consommateurs de faire une comparaison des prix. Il a tenu à rassurer les citoyens qu’il n’y a pas de monopole ni de quota sur l’importation du riz au Burkina.

Baisse des prix – Des grains de sable dans le riz
16 MAI 2011 – http://fr.allafrica.com/stories/201105161429.html
Parce qu’aliment très prisé, l’État a aménagé des périmètres rizicoles pour une production plus importante. Malgré cela, la quantité de riz produit sur le plan local ne satisfait pas la demande des populations. En effet, le pays ne produit que 30% de ses besoins de consommation et se voit obligé de se tourner vers l’extérieur pour importer des tonnages complémentaires. Du coup, cette denrée alimentaire n’est plus à la portée de tous. Les consommateurs se plaignent du coût exorbitant du sac mais les importateurs s’en défendent en expliquant les aléas du marché international. Tour d’horizon de quelques poids lourds du secteur pour cerner les contours de la problématique du riz au Burkina Faso.

Commerce : L’importation du riz ouverte à tous
13 MAI 2011 – http://www.burkinapmepmi.com/spip.php?article4132
Le riz, denrée alimentaire de première nécessité au Burkina Faso, revêt une importance stratégique dans la composition du « panier de la ménagère » burkinabè. Le pays n’en produit, cependant, que 30 % de sa consommation et est, de ce fait, condamné à en importer les deux tiers pour pallier le manque. C’est dire si la moindre augmentation des coûts s’érige en problème national, surtout en ces temps d’instabilité sociale. Certaines langues colportent même le bruit que l’importation de la précieuse céréale serait aux mains d’un puissant lobby déterminé à saigner à blanc ses compatriotes en faisant, dans le seul but de s’enrichir grassement, impunément flamber les prix …

Alimentation : il aide les Burkinabés à être indépendants – Arradon
9 MAI 2011 – http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Alimentation-il-aide-les-Burkinabes-a-etre-independants-_56003-avd-20110509-60441909_actuLocale.Htm
Maurice Oudet missionnaire au Burkina Faso, a tenu une conférence sur la souveraineté alimentaire dans les pays d’Afrique. « La problématique principale du Burkina-Faso est sa trop forte dépendance aux importations de denrées alimentaires qui pour la plupart pourraient être produites sur place. » Une problématique encore plus grave est soulevée par le père blanc : l’importation de riz. « Le riz importé de Thaïlande est en règle générale un riz âgé de 5 à 10 ans. Là-bas, il sert à nourrir les animaux ! » Actuellement, le Burkina-Faso produit seulement un tiers de sa consommation en riz. Il demande aux représentants de l’Organisation mondiale du commerce « le droit de se protéger contre les importations à prix cassés ». Il avance qu’« une taxe à l’importation plus forte permettrait de ralentir le processus ». En clair, il exprime sa volonté de voir naître une politique agricole qui s’appuie sur les producteurs locaux.

Burkina Faso: baisse des prix de trois denrées à compter de lundi
9 MAI 2011 – http://www.romandie.com/news/n/_Burkina_Faso_baisse_des_prix_de_trois_denrees_a_compter_de_lundi_090520112305.asp
Le gouvernement burkinabè a annoncé l’entrée en vigueur ce lundi pour trois mois de nouveaux prix en baisse pour le riz, l’huile et le sucre, produits de grande consommation dans ce pays. Ces nouveaux prix raisonnables visant à rendre consistant le panier de la ménagère ont été décidés dimanche à l’issue d’une semaine de négociations avec les associations de consommateurs, les syndicats et la Coalition de lutte contre la vie chère (CCVC) ainsi que les opérateurs économiques, a expliqué à l’AFP le ministre du Commerce, Patiendé Arthur Kafando. Pendant les trois prochains mois, le riz 25% brisure, qui représente deux tiers de la consommation de riz au Burkina Faso, sera vendu à 16.000 FCFA le sac de 50 kg, soit 320 FCFA/kg (24 euros le sac soit 0,49 euro le kilo). Son prix variait de 20.000 à 21.000 FCFA les 50 kg (30 à 32 euros).

Prix des denrées essentielles : Pour les commerçants, il faut d’abord diminuer la douane et le carburant
5 MAI 2011 – http://www.lefaso.net/spip.php?article41891
David Bayili est des plus sceptiques quant à la baisse du prix des produits de grande consommation promise par le gouvernement. Le moins que l’on puisse dire est qu’il sait de quoi il parle puisque sa société, Doudou Transport et Commerce, importe des produits de grande consommation.
Calculatrice en main, David nous explique le processus de fixation du prix du riz dans son commerce dont le sac de 50 kg de la meilleure qualité coûte 21 000 F CFA : « Mon fournisseur me vend la tonne de riz à 520 dollars US soit 252 500F CFA. A cela s’ajoutent le transport du port de Lomé à Ouagadougou (45 000 F CFA) ainsi que le transit, les frais de douane et du laboratoire national de santé publique. Au finish la tonne vous revient à 322 200 F CFA soit 16 110 F CFA le sac. Sans compter les 2 % pour les impôts. Faites l’addition et vous verrez qu’on tourne autour de 21 000 F CFA avec une toute petite marge de bénéfices ».
Et d’égrener le chapelet des difficultés liées à l’importation du riz : « En plus de cela, pour importer le riz il faut une autorisation de la Chambre de commerce qu’on peut ne pas vous signer sous prétexte qu’il faut une importation minimum de 1000 tonnes soit pas moins de 300 millions de F CFA. C’est un monopole qui ne dit pas son nom et c’est ça qui réduit le nombre des personnes qui importent le riz. Si les importateurs étaient plus nombreux, la concurrence aurait forcé à baisser le prix. S’ils veulent vraiment baisser le prix du riz, ils n’ont qu’à en reprendre le monopole comme le faisait la CGP avant. L’État fera alors la commande et nous, nous irons acheter chez eux. Là, on peut dire que le prix restera stable puisqu’ils pourront vérifier les marges appliquées. Actuellement, moi, j’achète cher à Lomé, quelqu’un d’autre plus nanti achète directement à la source, c’est-à-dire moins cher en Chine ou à Taïwan. On ne peut pas vendre au même prix. Ce n’est pas possible ! »
Il est également sceptique sur une éventuelle subvention du riz par l’Etat : « Ça va être difficile. Si l’État te dit vendre ton riz de meilleure qualité à 15 000 F CFA au lieu de 21 000 F CFA, le manque à gagner il va te le payer, d’accord. Mais ils vont te payer quand ? On connaît la lenteur de l’Etat. Et puis cet argent-là, il va le sortir d’où ? »

GAMBIA

Rice Yields Improved by Two Tons in Intervention Areas Says CRR Regional Agric Director
MAY 9, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105101110.html
Ousman Jammeh, the regional agriculture director of the Central River Region (CRR) south has reported that rice yields this year have improved by 2 tons per-hectare in the intervention area of The Gambia Emergency Agricultural Production Project (GEAPP) in the Niamina East. He revealed that the Taiwanese Agricultural Mission also developed over 1,200 hectares for the upland rice project; and the project, he noted registered remarkable improvement.
Jammeh asserted that for farmers to manage a rice irrigation project, there must adherence to four components and these, he highlighted are: land development, rural credit capacity building, and project management. He explained that the project has provided or purchased 45 power tillers, developed over 1060 hectares at Jally Pacharr and 43 hectares were developed for the people of Niamina East.
He disclosed that D500,000 was spent on fertilizer and rice seeds and was given out to farmers as loans. “The objective of farmer-manageg rice irrigation project is to produce 7000 tons of rice annually, but the project was able to produce 5733 tons last year, and 1, 250 benefited,” he further revealed.
Jammeh added that the project was targeting 2300 beneficiaries

GHANA

Japan extends $5.1million Agricultural Grant to Ministry of Food and Agriculture
MAY 24, 2011 – http://www.jica.go.jp/ghana/english/office/topics/press_110524_02.html
The Japanese government has extended agricultural machinery worth USD5.1 million to the government of Ghana under the grant assistance for underprivileged farmers (2KR) to increase food production. The machinery is comprised of 125 agricultural tractors with matching implements, 10 rice mills, 35 rice threshing machines, 35 rice reapers, 2 combine harvesters and 40 irrigation pumps.
The Government of Japan decided to provide assistance to the Ghanaian rice sector, which is heavily dependent on imports and needs urgent attention for modernization. ‘Japan is a large rice consuming country and for a long time, has developed techniques and equipment for the modernization of rice production. Japan is assisting Ghana to modernize her rice production processes.’ Mr. Hisanobu Mochizuki, the Acting Ambassador of Japan mentioned.

Finatrade calls on government to punish rice smugglers
MAY 23, 2011 – http://www.modernghana.com/news/330201/1/finatrade-calls-on-government-to-punish-rice-smugg.html
Mr John Awuni, Corporate Affairs Director of the Finatrade Group of Companies, on Monday commended the Food and Drugs Board (FDB), the Ghana Police Service and Ghana Revenue Authority (GRA) for discovering secret rice warehouses and arresting the smugglers. Mr Awuni appealed to the government to compel the company to pay all the tax they had evaded over the years and prosecute them to serve as a deterrent to other tax evading companies.

Bags Of Rice Burnt – After Seizure By FDB
MAY 20, 2011 – http://www.modernghana.com/news/329835/1/bags-of-rice-burnt-after-seizure-by-fdb.html
Eleven thousand and eighty bags of unwholesome rice, which were about to be cleared at the Tema Port for public consumption, have been intercepted and destroyed by the Export and Imports Control Unit of the Food and Drugs Board (FDB).

Rice farmers at Afife attacked by indigenes
MAY 20, 2011 – http://www.modernghana.com/news/329796/1/rice-farmers-at-afife-attacked-by-indigenes.html
About one thousand settler farmers and their dependents in the Veta traditional area in the Volta Region are living in fear following persistent attacks and death threats on them by a group of residents. The settlers have been farming on a parcel of land acquired by government for the Afife Irrigation Project under the Irrigation Development Authority. One of the farmers, Benjamin Kpodo, told Joy News some of his colleagues have been compelled to send their families away from the area. He said the indigenes consider them strangers.

Project-conscious & Business-conscious
MAY 7, 2011 – http://waynemiranda.posterous.com/project-conscious-business-conscious
To paint a bit of a picture, in northern Ghana, the largest rice processor is government-operated, and its operation has collapsed in the past due to poor business management like many state enterprises of its kind. The second largest rice processor is more of an Oxfam welfare assistance project to vulnerable women. A new apparently high-quality rice mill privately imported from Dubai is located in a rural town hours away from rice producing areas in northern Ghana—my guess is it was motivated by raising social prestige points among and for the family

“DUBIOUS RICE TRANSACTION”
MAY 3, 2011 – http://www.modernghana.com/news/327130/1/dubious-rice-transaction.html
A string of documents surfaced in the public domain from the General Auditing Commission has recommended for prosecution Liberia’s Defence Minister Brownie Samukai, the Manager of a rice supplying firm and others in connection with a fraudulent transaction.

GUINEE

Le monde : La problématique rizicole et médicale au cœur des entretiens du chef de la diplomatie guinéenne
13 MAI 2011 – http://www.guineenews.org/articles/detail_article.asp?num=201151342652
Le ministre des Affaires étrangères et des Guinéens de l’étranger séjourne actuellement à Istanbul, en Turquie où aux côtés du chef de l’État il participe au 4ème sommet des Pays les Moins Avancés (PMA). Peu avant de quitter Conakry, le chef de la diplomatie guinéenne s’était entretenu s’est entretenu avec une équipe d’experts malaisien. Deux sujets ont été abordés au cours de cette audience, notamment les questions de santé et la culture du riz en Guinée.
Le deuxième point de l’exposé de cette équipe d’experts malaisien aura porté sur la culture du riz en Guinée pour assurer l’autosuffisance alimentaire. L’exposé a été étayé par une projection de diapositifs sur les méthodes riziculturales proposées pour la Guinée. M. Mazlee Ma Ramll expert en culture de riz a largement expliqué à l’aide d’images les méthodes culturales de sa société.
Dans un premier temps, explique l’expert, notre société importera 25.000 tonnes de riz en Guinée en assurant le financement de cette importation. Au bout de cinq ans, on pourrait ainsi mettre fin à toute importation de riz et assurer l’autosuffisance alimentaire, voir l’exportation dans certains pays africains. Et la société qui sera créée sur place pourra, par la suite, assurer la formation des coopératives de paysans guinéens.

Le Gouvernement appuie la campagne agricole à Timbi – Madina
8 MAI 2011 – http://www.leverificateur.com/index.php?query=Article&id=717&r=societe
Dans le cadre de l’exécution de l’effort gouvernemental pour les facilités d’accès aux intrants agricoles, les membres de la confédération nationale des organisations paysannes de Guinée (CNOP-G) étaient réunis récemment à Timbi Madina, siège de la Fédération des paysans du Fouta Djalon.
Le Président de la CNOP-G a rappelé d’ailleurs les engagements pris par les paysans auprès du président de la république qui sont à respecter pour mériter sa confiance._ L’objectif de ce programme est d’atteindre la sécurité alimentaire de la Guinée dans les 3années à venir (horizon 2014) avec les résultats attendus en production supplémentaire de 100.000 tonnes de riz net, la mise en valeur de 100.000 ha pour réduire le déficit d’importation

Conakry : le gouverneur annonce l’arrivée de 600 mille tonnes de riz pour la population guinéenne
4 MAI 2011 – http://guineeinter.com/fichiers/blog16-999.php?langue=fr&type=rub2&code=calb1482
Il affirme qu’environ 600 mille tonnes de riz sera là dans les jours qui viennent pour satisfaire la population guinéenne en denrée de consommation. Et 120 magasins sont disponibles pour le stockage et la transparence dans la distribution de cette denrée qui fatigue vraiment le citoyen lambda dans notre pays.

L’association Univers Sel remercie ses partenaires – Guérande
3 MAI 2011 – http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-L-association-Univers-Sel-remercie-ses-partenaires-_44069-avd-20110503-60405995_actuLocale.Htm
Vendredi 29 avril, l’association Univers Sel a convié l’ensemble de ses partenaires pour une journée de présentation des activités et d’échanges. Bilan, réflexion stratégique et perspective étaient au programme.
Depuis 1991, cette association regroupant des paludiers de Guérande fait partager son savoir-faire aux paysans Africains. En Guinée, pour la réhabilitation de domaines rizicoles et la formation de techniciens guinéens à la double problématique riz-sel. Aujourd’hui 4 500 ha de casiers rizicoles ont été aménagés ou réhabilités.

LIBERIA

India to provide 96,000 tonnes of rice for Liberia
MAY 30, 2011 – http://www.gentraco.com.vn/en/news/india-to-provide-96-000-tonnes-of-rice-for-liberia.html
Minister of state for external affairs Dr Shahi Tharoor has announced that the government of India will provide 96,000 tonnes of rice to Liberia.
Dr Tharoor, who also pledged his government’s support to the development programme of Liberia, made the disclosure at the ministry of foreign affairs minutes after he held bilateral talks with President Ellen Johnson Sirleaf. “The government of India had planned to allocate more rice to Liberia, but had not been able to do so owing to the unfavourable weather that adversely affected India’s harvest this year,” Dr Tharoor said.
The minister has also announced that India will help Liberia’s public transport with 25 buses and a special package to offer training to the Liberia National Police (LNP) in areas recommended by the Government of Liberia.

FAO supports rice production in Liberian host communities
MAY 24, 2011 – http://reliefweb.int/node/403670
The Liberian Ministry of Agriculture (MoA) and the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) are currently distributing rice production inputs to 2600 host families in Nimba County. The objective is to support food security in communities that has been hosting Ivorian refugees for an extended period of time. It is expected that the intervention will support the food needs of some 13,000 individuals.

Commerce Ministry Announces Rice Surplus
MAY 9, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105101120.html
The Ministry of Commerce has reported that there is a surplus of rice on the Liberian market.

MADAGASCAR

Filière riz : bientôt la mise à jour de la stratégie nationale
30 MAI 2011 – http://www.lagazette-dgi.com/index.php?option=com_content&view=article&id=13083:filiere-riz–bientot-la-mise-a-jour-de-la-strategie-nationale&catid=45:newsflash&Itemid=58
Le week-end dernier à Analavory, le président de la transition a lancé le défi de faire de Madagascar un pays exportateur de riz. Il a promis des solutions allant dans ce sens. Ces solutions devraient sortir de la mise à jour de la Stratégie nationale de développement de la riziculture (SNDR) prévue du 20 au 24 juin prochain dans la capitale. Le Groupement pour le système de riziculture intensif (GSRI Madagascar) annonce d’ores et déjà que le SRI sera intégré dans cette stratégie. Il devra faire partie des solutions pour atteindre le doublement de la production, objectif des pays membres de la Coalition pour le développement du riz en Afrique (CARD). Cette technique permet de récolter plus de 10 t/ha. Comme quoi, l’augmentation des surfaces cultivées, comme l’a suggéré le président de la transition, n’est pas tellement la solution indiquée, du moins pour le moment. En effet, le problème se pose notamment au niveau de l’adoption des techniques améliorées comme le SRI et le SRA (système de riziculture amélioré). Et la plupart du temps, il est lié aux difficultés d’accéder aux intrants comme les semences améliorées, l’engrais, les petits matériels agricoles…

100 000 ha de rizière de plus
30 MAI 2011 – http://www.madagascar-tribune.com/100-000-ha-de-riziere-de-plus,15969.html
La superficie rizicole n’est pas suffisante et la production en riz ne suit pas la croissance de la population ; c’est ce qu’a vraisemblablement voulu dire le président de la HAT à Analavory ce samedi 28 mai dernier dans son discours lors de la cérémonie du « Santabary 2011 ». Il a noté que depuis les années 60, la surface rizicole n’a pas connu d’augmentation ; aussi il faut maintenant accroître cette superficie et il a proposé une augmentation de 100 000 ha de plus pour ne plus avoir à importer du riz mais qu’au contraire Madagascar puisse en exporter. Des déclarations qui ont fait tiquer plus d’un riziculteur et plus d’un agent de l’agriculture car on se souvient encore des opérations d’aménagement des vallées et tanety pour en faire des rizières, notamment dans le Bongolava, dans le cadre du programme MAP de l’ancien régime.

Système de riziculture intensive : Édition d’un livret destiné aux paysans
27 MAI 2011 – http://www.groupementsrimada.org/fr/index.php
La demande en riz sur le marché mondial ne cesse de progresser. Cependant, et malgré la révolution verte, la production ne suit pas la demande. La riziculture irriguée est pratiquée par des millions de paysans à travers le monde. Cette riziculture repose sur une inondation pratiquement permanente des rizières, qui est source énorme de production de méthane. Le repiquage est tardif et avec des densités trop importantes de plants. En raison de la pression démographique et souvent du manque de terre et d’eau, d’autres méthodes culturales doivent être utilisées pour améliorer les rendements rizicoles.
Pour plus d’information sur le système de riziculture intensive : Régions Atsinanana et Analanjirofo : Promotion de la filière rizicole http://www.courrierdemada.com/mg/index.php?option=com_content&view=article&id=17301:regions-atsinanana-et-analanjirofo–promotion-de-la-filiere-rizicole&catid=35:economie&Itemid=61

Jeunes entrepreneurs agricoles – Rendements de 2,8 tonnes de riz par hectare
25 MAI 2011 – http://www.laverite.mg/index.php/economie-madagascar/26596-jeunes-entrepreneurs-agricoles-rendement-de-28-tonnes-de-riz-par-hectare
Après onze mois d’installation à Ambatobe, District de Tsiroanomandidy, Région Bongolava, 58 jeunes entrepreneurs agricoles dans le cadre du projet du ministère de l’Agriculture ont obtenu un rendement de 2,8 tonnes à l’hectare de riz pluvial B – 22 sur 110 ha.

Du fer et du zinc aux repas
20 MAI 2011 – http://www.lexpressmada.com/oligo-elements-madagascar/23666-du-fer-et-du-zinc-aux-repas.html
Une nouvelle variété de riz venue de Cotonou, capitale économique du Benin, est en cours d’étude actuellement en vue d’être introduite dans la Grande Île. Elle ne fait pas partie des plantes génétiquement modifiées (OGM).
La forte teneur en fer et en zinc de cette variété de riz relève de la nature, grâce à un croisement génétique. Son apport en zinc, en fer et en protéine est élevé par rapport aux autres variétés de riz. Elle contient 9 grammes de protéine pour 100 grammes de riz, contre 6 grammes en moyenne pour les autres variétés de riz à Madagascar. 350 grammes de riz consommés en une journée donnent la moitié de fer utile pour le bien-être du corps d’un adulte. Ainsi ce riz provenant de Cotonou permettra d’améliorer la qualité et la quantité du riz dont le rendement avoisine les 10t à l’hectare.

Le plat de riz manque de nutriments
20 MAI 2011 – http://www.lexpressmada.com/alimentation-madagascar/23665-le-plat-de-riz-manque-de-nutriments.html
En tant qu’aliment de base, le riz est une source d’énergie alimentaire, et le manger tous les jours expliquerait la longévité des Asiatiques. Toutefois, ce n’est pas un repas complet. Sans accompagnement, la santé et la productivité de l’homme risquent d’être affectées à cause des carences en vitamines et en oligo-éléments.

PPN – Une baisse générale de prix constatée
19 MAI 2011 – http://fr.allafrica.com/stories/201105191017.html
Le prix des produits de première nécessité (PPN) a connu une baisse générale dans le courant de la semaine du 9 mai. Cette observation a été effectuée par l’observatoire du riz. « Les prix du riz, du sucre, de la farine, de l’huile en vrac et du pétrole au niveau national ont, en général, diminué.
Pour ce qui est du riz blanc, une baisse du prix a également été constatée. « Les variations sont de l’ordre de moins de 3 % pour le “vary gasy”, de 4 % pour le “makalioka” et de 1 % pour le tsipala », rapporte toujours l’organe.
Par ailleurs, le prix moyen du paddy au niveau national a connu une régression de 3 % par rapport à la semaine de 2 mai. Le district de Bealanana échappe cependant à cette généralité. En effet, « une hausse spectaculaire de 29 % du prix de paddy a été constaté ». Selon les explications fournies, cette augmentation est liée à l’arrivée massive des collecteurs en provenance de la région de Diana. Le prix du kilo passe ainsi de Ar 350 à Ar 450.

Mandoto – Des hommes armés volent 30 tonnes de riz dans des rizières
18 MAI 2011 – http://fr.allafrica.com/stories/201105180963.html
Il y a quelques semaines, les habitants du village d’Ambohibehivavy dans le district de Mandoto ont eu la mauvaise surprise de trouver plusieurs hommes en train de moissonner le riz dans leurs rizières. Selon les informations, les bandits ont emporté plus de 30 tonnes de paddy qu’ils ont récolté sur une superficie de 10 ha.

Les prix se stabilisent …
16 MAI 2011 – http://www.commerce.gov.mg/index.php/revue-de-presse/2203-riz-les-prix-se-stabilisent-
A l’arrivée de la récolte dans les greniers à riz de Madagascar, contribuant ainsi à l’augmentation de l’offre, on constate une stabilité générale de prix du paddy. Dans certai¬nes régions, le prix a chuté de 24%. On note qu’en cette période de récolte, c’est le riz blanc local qui dicte les prix sur les marchés.
Et tout normalement, cela se traduit au niveau du prix du riz blanc. En effet, les prix moyens du riz blanc ont bais¬sé. Les variations sont de l’or¬dre de -1% pour le «vary gasy», -3% pour le «makalioka» et le riz importé et -5% pour le «tsipala». Cette dimi¬nution de prix ne s’explique pas seulement par l’arrivée de la grande moisson dans quel¬ques régions. L’existence du «vary mora» dans certains marchés y est également pour quelque chose. Dans certaines régions, le cours du riz importé (par exemple dans celle d’Anjorobe) est très bas. Il est vendu à 770 ariary le kilo. Cela s’ex¬plique par le fait que la majori¬té n’achète plus ce riz en période de grande moisson. Mais ce sont des cas isolés.

Vakinankaratra : ministère de l’Agriculture 10 tonnes de produits agricoles offerts
14 MAI 2011 – http://www.courrierdemada.com/mg/index.php?option=com_content&view=article&id=16866:vakinankaratra–ministere-de-lagriculture-10-tonnes-de-produits-agricoles-offerts&catid=35:economie&Itemid=61
5 t de semences de riz, 5 t d’engrais et des semences légumineuses (haricots, carottes, pommes de terre, etc.) ont été distribuées aux petits producteurs de la région. Ces produits ont été offerts afin que la production rizicole de Vakinankaratra n’en pâtisse pas. En effet, les pluies incessantes accompagnées de grêles ont ravagé près d’une centaine d’hectares. Notons que cette région est la principale productrice de riz au pays, avec en moyenne 36% de la production nationale, soit 1 000 000 tonnes par sur une surface rizicole de 320 000 ha. De lourds dégâts ont été occasionnés par cette chute de grêle comme la destruction de la récolte de riz, dont la moisson approchait pourtant, et la pourriture des légumes.

Prix du riz – Le « makalioka » persiste à Ar 1500
6 MAI 2011 – http://fr.allafrica.com/stories/201105090707.html
Le « vary mora » n’a pas eu raison de la hausse du prix de certaines variétés de riz. Déjà peu répandu sur le marché, le riz à moindre prix, n’a pas vraiment satisfait l’ensemble des consommateurs.

Le riz Dista de Madagascar
5 MAI 2011 – http://knowledge.cta.int/fr/Dossiers/CTA-et-S-T/Developpement/Le-riz-Dista-de-Madagascar
Le riz constitue l’aliment de base de la population malgache et le riz « Dista » – qui doit son nom au paysan qui l’a découvert – est cultivé dans la province de Toamasina, près du lac Alaotra (sur le plateau central, au nord de Madagascar).
Ce riz rose pâle, aux saveurs de cannelle, de girofle et de muscade, est très nutritif et permet de doubler les rendements par rapport aux autres variétés. Le riz Dista se broie moins lorsqu’il est décortiqué, ce qui permet de réduire les pertes post-récolte et d’améliorer les revenus des paysans.
Cette variété de riz est prisée pour une autre raison : il peut être cultivé en système intensif (http://sri.ciifad.cornell.edu/index.html) (SRI – système de riziculture intensif). Le SRI préconise la transplantation de jeunes plants de riz à raison de un plant par trou, l’ajout de compost organique, le désherbage fréquent et le contrôle du niveau de l’eau afin d’aérer les racines. Cela permet de renforcer la croissance des racines profondes pour aider la plante à mieux résister à la sécheresse et ainsi améliorer encore davantage sa saveur.

ENGLISH VERSION

Alaotra Lake Dista Rice
http://www.slowfoodfoundation.com/pagine/eng/presidi/dettaglio_presidi.lasso?-id=208&-nz=&-t
Malagasy small farmers eat rice three times a day: boiled and served with Kitoza (strips of pan-fried dry meat), for breakfast (vary sosoa) cooked in a soup of wild herbs, at lunch (vary amin’anana) and, lastly, for dinner, served with boiled chicken, fried eggs, lentils or ground cassava leaves. Furthermore, they drink ranon’apango, a beverage made from the rice cooking water with their meals. This cereal-which accounts for about 70% of their daily calorie requirements-is the main staple of their diet and also fulfils important religious and ritual functions.

Les prix du riz commencent à se stabiliser
4 MAI 2011 – http://www.afriquinfos.com/articles/2011/5/4/brevesdafrique-177277.asp
L’Observatoire du riz montre que les prix moyens du kilo ont été de 1.083 Ariary pour le “vary gasy”, 1.132 Ariary pour le “tsipala”, 1.222 Ariary pour le “makalioka” et 1.244 Ariary pour le riz importé (l dollar vaut environ 2.000 Ariary). Ces trois variétés de riz sont les plus consommées dans le pays.
L’Observatoire indique que la cause de cette stabilité est la disponibilité du riz dans plusieurs marchés et l’arrivée de la moisson dans plusieurs régions.
Pourtant, des disparités de prix pour une même variété de riz ont été constatées entre les différentes régions, parce que les régions productrices de la variété affichent un prix plus bas que les autres. Ainsi, le kilo du “vary gasy”, qui coûte 723 Ariary au sud du pays, se vend à 1.423 Ariary à l’est. Le “tsipala” est vendu à 700 Ariary au sud contre 1.400 à l’ouest, tandis que le “makalioka” est de 910 Ariary au sud-ouest contre 1.600 Ariary au centre.

MALI

Le Mali aurait la capacité de combler les besoins de son pays en riz…
26 MAI 2011 – http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article5145
Sur plus d’un million d’hectares de terres gérées par l’Office du Niger, moins de 10% sont exploitées, faute d’investissements suffisants. L’office du Niger est une richesse considérable du Mali, il représente l’un des plus vastes et ambitieux projets d’aménagement hydro agricole de toute l’Afrique de l’Ouest. L’un de ses objectifs principaux est de contribuer à la sécurité alimentaire au Mali. Malheureusement, son potentiel reste inexploité.

Un ingénieur télécoms dans la riziculture
25 MAI 2011 – http://www.lesafriques.com/actualite/un-ingenieur-telecoms-dans-la-riziculture.html?Itemid=89
Après avoir créé une entreprise au Canada qui réalisait jusqu’à 2 millions de dollars par mois, il rentre au Mali et se lance dans le riz. Portrait d’un jeune entrepreneur.

Initiative riz et fournisseurs d’engrais : « Il n’est pas question de boycott, nous sommes prêts à continuer »
24 MAI 2011 – http://www.maliweb.net/category.php?NID=75994&intr=
« A ce jour, nous n’attendons que la publication par le Ministère de l’Agriculture de l’agenda de la Campagne agricole pour commencer la mise en place effective des engrais dans tous les sites définis et ce partout en République du Mali ». C’est en ces termes clairs qu’un des cinq fournisseurs représentant à eux seuls 80% du marché des engrais s’exprimait, apportant ainsi un démenti aux menaces de boycott.

CASCA : Demande de saisie de la justice sur l’Initiative riz
13 MAI 2011 – http://www.malikounda.com/Actualites/casca-demande-de-saisie-de-la-justice-sur-linitiative-riz.html
La Cellule d’appui aux structures de contrôle de l’administration (Casca) recommande la transmission du dossier de gestion de l’Initiative riz des deux dernières campagnes à la justice. Après contrôle, elle a constaté de nombreuses irrégularités.

Menaces sur l’Initiative Riz : Détournement des subventions de l’État
13 MAI 2011 – http://www.maliweb.net/category.php?NID=75436&intr=
Diadié Ba est un opérateur économique bien connu dans la région de Ségou. Par ailleurs, il est également militant du PDES et pour ne rien gâter il a été désigné coordinateur régional de Ségou du parti qui se réclame du président ATT. Dans le cadre de l’Initiative riz, il est accusé de malversations portant sur plus de deux milliards au niveau de la subvention de l’Etat. Devant le refus du ministre de l’Agriculture de le payer jusqu’à ce que la lumière éclate, Diadié Ba a mobilisé les premiers responsables de son parti dans le but avoué de consommer le fruit de sa fraude.

Exonération de riz : Les complices de Bakoré Sylla vont-ils enfin se dévoiler ?
12 MAI 2011 – http://www.maliweb.net/category.php?NID=75405&intr=
Suite à un précédent papier dans lequel nous avons évoqué les 15 000 tonnes de riz dont a indûment bénéficié le richissime commerçant Bakoré Sylla, grâce aux bons soins du directeur de cabinet de la primature, Makanfily Dabo, les pêcheurs en eau trouble semblent prendre le risque de laisser tomber les masques, en optant pour des justifications qui s’avèrent vaines.

L’Office du Niger en quête de la performance : Voici la réforme d’Abou Sow, après celle de Denon
6 MAI 2011 – http://www.maliweb.net/category.php?NID=75142&intr=
Il existe aujourd’hui une synergie d’action autour de l’Office du Niger. Elle vise à réduire la pauvreté via une souveraineté alimentaire. Cette dynamique fut déclenchée avec l’arrivée de Kassoum Denon comme PDG de l’Office du Niger, le 9 décembre 2009 à travers une réforme institutionnelle interne qui a abouti à la création des directions spécialisées. Après cette réforme Denon, voici à présent celle d’Abou Sow, ministre délégué auprès du Premier ministre chargé du développement intégré de la zone Office du Niger.

NAMIBIA

Rice Harvesting Season Launched
MAY 23, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105240233.html
The Chancellor of the University of Namibia (Unam), Dr Sam Nujoma last week officially launched the rice-harvesting season. Nujoma applauded the Unam rice project crew under the leadership of the Faculty of Agriculture Deputy Dean, Professor Luke Kanyomeka Kanyomeka said some of the farmers have since become experts in rice production.
Based on research done, six rice varieties are suitable to Namibia. Super and irga are two of the popular rice varieties in Namibia.

NIGER

Prix des produits alimentaires sur le marché : halte aux velléités de hausse
5 MAI 2011 – http://www.lesahel.org/index.php?option=com_content&view=article&id=7230:prix-des-produits-alimentaires-sur-le-marche–halte-aux-velleites-de-hausse&catid=35:articles-de-societe&Itemid=54
D’après ses investigations sur les marchés, l’ADDC (Association de défense des droits des consommateurs) Wadata a fait la remarque suivante: le maïs coûte environ 16.500 F le sac de 100 Kg. Pour le riz, on distingue 3 catégories : le riz 25 % brisure importé, et qui est vendu à 21.500 F, contre 22 000 F le mois passé soit une baisse de 500 F. Les 25 % brisure, riz national qui est produit ici au Niger coûte 16 000 F au Riz du Niger contre 21 000 F sur le marché, les 15 % brisure riz importé sont cédés à 23 000 F, le 1 % brisure est à 25 000 F. Le riz 32 et 33 respectivement à 23 000 F et 34 000 F.

NIGERIA

Le Nigeria va interdire l’importation de riz, de sucre et d’engrais
24 MAI 2011 – http://www.infosplusgabon.com/article.php3?id_article=6497
Le Nigeria va interdire d’ici 2015 l’importation de riz, de sucre, d’engrais et d’autres denrées pouvant être produites localement, dans le cadre des efforts pour créer des emplois et stimuler l’économie du pays, a annoncé lundi le président Goodluck Jonathan au cours d’une réunion avec la communauté des hommes d’affaires du Nigeria. “Ma conviction est que d’ici 2015, le Nigeria n’aura plus à importer de riz ni d’engrais, et nous devons également encourager la production locale de sucre afin que l’importation de ces denrées soit révolue”, a-t-il affirmé.
“Afin de créer des emplois, le gouvernement va fortement décourager l’importation des denrées produites localement ou susceptibles d’être produites dans le pays”, a indiqué le président Jonathan.

‘27% of Rice Exported into the Country Expired’
MAY 18, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105180444.html
Nigerians eat stale rice as about 27 per cent of the rice imported into the country has expired, an agric expert told Daily Trust in an interview. “The CBN just told Nigerians that the country spent $100million in 2010 in the importation of rice whereas we have 14 regions in Nigeria that can grow enough rice. Don’t forget that 27 per cent of the rice imported into Nigeria is expired rice and we eat them,” he said._ He added: “The problem is because of stones in our rice; the Nigerian housewife today is used to foreign rice that they don’t need to wash twice. The quality of rice we eat in Nigeria is not commensurate with the quality of rice eaten in countries such as Cambodia, Malaysia and Algeria. We must go back to the promotion of one community, one product.”

How Nigeria can attain self-sufficiency in rice production, by USAID chief
MAY 16, 2011 – http://www.guardiannewsngr.com/index.php?option=com_content&view=article&id=48054:how-nigeria-can-attain-self-sufficiency-in-rice-production-by-usaid-chief&catid=31:business&Itemid=562
The United States Agency for International Development (USAID) funded Maximising Agricultural Revenue and Key Enterprises in Targeted Sites (USAID-MARKETS) is optimistic that with the right policies and incentives to operators of the sector, Nigeria stood a good chance of becoming self-sufficient in rice production within the next 5-10 years._ His words: “Nigeria can produce good quality rice that can beat any imported one. Nigeria can be self-sufficient in rice in 5-10 years. This country has all it takes. You will be more competitive as a nation if you produce rice. There is a lot of jobs in the value chain. What is required is the right quality and quantity of rice from the farmers. The Nigerian rice, when processed, is better and has better flavour.”_ Lack of competitiveness of domestic rice, he said, results from limited access to fertiliser, quality seed, and credit coupled with low processing capacity and limited incentives for private sector participation.

Ebonyi’s Rice Processing Tools Arrive From Japan
MAY 15, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105161681.html
Ebonyi State Commissioner for Agriculture and Natural Resources, Dr. Emmanuel Echieagu, says rice processing equipment ordered by the state government has arrived from Japan._ He also disclosed the state decided to go into large rice production and processing by building three modern rice processing plant; one in each of the three zones of the state._ “Under this administration we set up the state tractor hiring scheme with 23 tractors. Then we procured and distributed farm inputs which was not done in the previous administration and every year we distribute rice seeds and fertilizers to farmers at subsidized rate. We also extended our services by recruiting 180 graduates to work as extension workers in various communities while some were sent to Songhai Centre in Benin Republic for training and at the end of the training they were given some capitals ranging from N3.8 million to N9 million as soft loans to set up agriculture enterprises,” he added.

Ban on rice: Group blasts Customs on inadequate payment of duty
MAY 12, 2011 – http://www.vanguardngr.com/2011/05/ban-on-rice-group-blasts-customs-on-inadequate-payment-of-duty/
A group, Trans Boarder Traders Association of Nigeria (TBTAN) has blasted the leadership of the Nigeria Customs Service for its inability to collect adequate import duty on rice imported through land borders. President of the group Alhaji Mukaila Okunola who spoke to Vanguard in Lagos said that the reason being the inadequate collection of duty on the commodity is an indictment on the Customs Service who has failed in its duty.

‘Nigeria can feed the West African sub-region’
MAY 5, 2011 – http://234next.com/csp/cms/sites/Next/Home/5697950-146/story.csp
A Professor of Agriculture at the Ahmadu Bello University, Zaria Mohammed Yissa Gana has said that Nigeria is capable of producing rice for the whole of West Africa._ He said: “Rice fields available in both Kwara and Niger states are enough to feed the West African Sub-Region and save Nigeria billions of naira from importation of the product. Northern States could also support the trend.” He however, expressed his displeasure over the inability of the nation despite large arable land in the North Central states of Nigeria to grow the crop, adding that “Nigeria has spent billions of naira on importation of rice from Thailand and other nations of the world.”_ According to him, “with an estimate of 99 million hectares of cultivatable land for agriculture with only 30 percent under cultivation, that means the country has about 60 million uncultivated but cultivatable hectares of land scattered across the country. The country has large volume of both surface and underground water for irrigation for all-season agriculture.

RWANDA

Eastern Province Officials Tour Bugesera Rice Project
MAY 11, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105110765.html
A Rwf 6.7 billion rice project launched by the Bugesera Agricultural Development Project, PADAB, will improve people’s welfare in the district._ The delegation of all stakeholders in the project led by the Governor of Eastern Province, Dr. Aisa Kirabo Kacyira, commended the 1,000-hectares project that covers the sectors of Mwogo and Juru. Jean Baptiste Rwigema, PADAB coordinator, said the project has the capacity to produce 10,400 tonnes of rice per season.

Rice Cooperative Honoured for Creating Jobs
MAY 8, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105090305.html
Coproliz Ntende, a rice cooperative operating in Gatsibo District, was Friday awarded by the Ministry of Labour for creating jobs for area residents._ Since its inception in 2003, the rice cooperative has offered jobs to 3000 residents preparing terraces and cleaning swamps. James Karangwa, the head of the cooperative, welcomed the award explaining that the cooperative began growing rice on 75 hectares, but after support from the Rural Sector Support Project (RSSP), they increased the acreage to 575.

Rice Production in Nyagatare Set to Increase
MAY 4, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105040103.html
Nyagatare District is expected to realise a significant increase in rice production following the Rural Sector Support Project’s implementation of an irrigation project in Muvumba perimeter 8._ The project is implemented by the Ministry of Agriculture is funded by the World Bank._ Jolly Dusabe, the project coordinator, said in an interview that the project would cover over 1,500 hectares, and rich production in the Muvumba Valley will start by 2012._ “This will provide a significant contribution to food security in Rwanda because it will have an annual output of 20,000 tonnes,” she revealed.

Drought to hit Rwanda 2011 farm output growth : minister
MAY 3, 2011 – http://www.theafricareport.com/last-business-news/5139580-Drought%20to%20hit%20Rwanda%202011%20farm%20output%20growth%20-%20minister.html
Kalibata (state minister of agriculture) said increased agriculture investment would pave the way for Rwanda to reduce its dependence on two of its main imported crops — rice and wheat. “We are investing very strongly in irrigation systems that will see (rice) imports going down in the next three years,” she said. “We will probably be importing about 10 percent from 40 percent now by 2014.

Rice Farmers Demand Better Prices
APRIL 30, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105020966.html
Rice growers in Rwamagana, Kayonza and Ngoma districts have expressed dissatisfaction over the current pricing of their harvest. The farmers said that funds invested in the production process are higher than what they are paid._ “We are paid between Rwf 160 and 200 per kilo depending on the quality of rice…the low prices are discouraging. It is true that at this price, we cannot match other crops such as sorghum or millet growers in terms of profits,” he said.

SENEGAL

Crédit et production agricole dans la vallée du fleuve Sénégal
17 MAI 2011 – http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/credit-et-production-agricole-dans?var_mode=calcul
Quel rôle joue le crédit dans une agriculture en pleine mutation, suite à l’introduction de l’irrigation et de la culture du riz ? Le nord du Sénégal apporte une réponse originale, dans le contexte de libéralisation de son économie, puis de crise alimentaire mondiale.

Réduction des importations de riz grâce à l’accroissement de la production (SAED)
16 MAI 2011 – http://aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=80222
Le directeur général de la Société nationale d’aménagement et d’exploitation des terres du delta du fleuve Sénégal et des vallées du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED), Mamoudou Dème, a fait état d’une réduction significative des importations de riz, grâce à un accroissement de 160 % de la production nationale entre 2007 et 2010.

Le Projet Croissance Économique veut aller vers la commercialisation de trois céréales
12 MAI 2011 – http://www.pressafrik.com/Le-Projet-Croissance-Economique-veut-aller-vers-la-commercialisation-de-trois-cereales_a57136.html
A l’occasion de la journée d’exposition et de dégustation de produits à base de maïs qui a été organisée par le Projet Croissance Economique (PCE) en partenariat avec la société TROPICASEM dans la Vallée du Fleuve Sénégal, la SAED, l’ISRA et l’Association des Producteurs de Maïs et Sorgho de la Vallée (APMSV) ce jeudi 12 mai 2011 dans les locaux de l’ITA, le Directeur dudit projet, Andrew Keck a indiqué qu’au Sénégal, «il s’agit de se focaliser sur quelques filières prioritaires dont notamment trois céréales (le riz, le maïs et le mil) et de travailler pour augmenter la productivité, pour améliorer la disponibilité et pour réduire éventuellement les courses».

Bulletin SIM du Commissariat à la sécurité alimentaire
AVRIL 2011 – http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/dispositifs-d-information-sur-les/article/bulletin-sim-senegal-avril-2010
Voir page 5 pour ce qui concerne le riz

TANZANIA

Dar es Salaam Rice Project to Raise Production Fourfold
MAY 22, 2011 – http://allafrica.com/stories/201105240448.html
Tanzania plans to boost its rice production fourfold over the next decade to 3.6 million metric tonnes up from 900,000 tonnes. The project dubbed Improving Rice Profitability through Increased Productivity and Better Marketing, will see the country save more than $500 million annually on imports which meet the 30 per cent national deficit.

TCHAD

Des milliers d’hectares aménagés par l’Etat seront opérationnels d’ici juin
21 MAI 2011 – http://www.africatime.com/afrique/nouvelle.asp?no_nouvelle=599796
Une première partie des 20 000 hectares de terrain aménagés promis par les autorités tchadiennes seront attribués à des exploitants agricoles avant le début de la saison des pluies, rassure vendredi le coordonnateur du Programme national de sécurité alimentaire (PNSA), Issakha Abderaman Haggar._ Les régions du Mayo-Kébbi-est et de la Tandjilé regorgent d’ immenses plaines inondables, favorables à la culture du riz, introduite au Tchad depuis cinq décennies. Des Chinois y ont aménagé entre 1967 et 1973 le casier B, une vaste plaine de 500 ha qui s’étale le long du fleuve Logone, à la sortie nord-ouest de la ville Bongor, chef-lieu du Mayo-Kebbi est. L’irrigation pour la culture du riz se fait aussi à la même époque dans le casier A de Biliam-Oursi._ Avant le riz chinois, c’est le sorgho ou mil rouge (communément appelé “djigari”) qui était la céréale de base dans la région. Les Massa (populations de la zone de Bongor) ne le cultivaient qu’autour des cases, juste pour la consommation de la famille._ La présence chinoise a réussi à valoriser la culture du riz en mobilisant d’importants matériels agricoles (motoculteurs pour le labour et le décorticage). Malheureusement, pendant la guerre civile de 1979, tous ces matériels ont été dilapidés, pillés et vendus aux plus nantis du pays. D’autres seront vendus à la Semry (Société d’exploitation et de modernisation de riz de Yagoua au Cameroun). Qu’à cela ne tienne, les inconditionnels reprennent la daba (la houe traditionnelle) et perpétuent la culture du riz._ Puis, dans les années 80 et 90, un groupement des riziculteurs est créé. Il prend en main la destinée de la culture du riz dans le casier B. Avec une pluviométrie qui tutoie les 700 mm dans la région, les périmètres irrigués bénéficient abondamment des eaux du fleuve Logone. Dès lors, pour une petite parcelle, la productivité pouvait atteindre 40 sacs de paddy. Les autochtones ne consomment qu’à peine 50% de la production, le reste est vendu aux gros commerçants venus de la capitale._ “Avant la subvention des intrants, la productivité tournait autour de 2 à 3 tonnes par hectare; mais maintenant, nous arrivons à 4 tonnes”, a expliqué le président du groupement des riziculteurs de Bongor, Hinimdou. “Avec le programme d’aménagement lancé par le gouvernement et les moyens de production qu’il a mis à notre disposition, nos récoltes devront augmenter dès cette saison”, a-t-il conclu.

REGIONAL /Afrique

Quel riz mange-t-on en Afrique ?
17 MAI 2011 – http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2626p074.xml1/?utm_source=feedburner&utm_medium=twitter&utm_campaign=Feed%3A+Jeune_Afrique_Economie+%28Jeune+Afrique+Economie%29
Même si le continent a relancé la riziculture depuis 2008, il importait encore en 2009 40 % de sa consommation, principalement des variétés de qualité médiocre. L’écart entre la consommation et la production en Afrique subsaharienne se chiffrait alors à 8 millions de tonnes (pour un marché mondial de 34 millions de tonnes). Le Nigeria, avec 1,5 million de tonnes achetées en 2009, est le premier importateur mondial. D’après la FAO, en Afrique de l’Est, c’est le riz pakistanais qui est le plus apprécié. Dans l’ouest du continent, les riz vietnamien et, dans une moindre mesure, chinois et thaïlandais, dominent. Ces dernières années, la production sud-américaine se fraye un chemin vers l’Afrique centrale.

USDA – Foreign agricultural service – Grain and Feed ANNUAL – Senegal – Mali – Ivory Coast
MAY 06, 2011 – http://gain.fas.usda.gov/Recent%20GAIN%20Publications/Grain%20and%20Feed%20Annual_Dakar_Senegal_5-6-2011.pdf
Total MY (Oct – Sept) 2010/11 milled rice production for West Africa is 4.06 million tons, a 24 percent increase from last year based on good rainfall distribution and governmental and donor investment in irrigated areas and subsidized inputs. Post forecasts MY 2011/12 rice production to increase 10 percent. Imports of MY 2010/11 milled rice are estimated at 3 million tons with Cote d’Ivoire (900,000 tons) and Senegal (700,000 tons) importing the lion’s share. Despite the relatively large increases in rice production, imports will likely remain stable in coming years as population and consumption grow.

Observatoire des prix/Price watch

Osiriz – mai ‏2011
http://www.infoarroz.org/portal/uploadfiles/20110601220546_15_ia0511fr.pdf

InterRice – may 2011
http://www.infoarroz.org/portal/uploadfiles/20110603105735_15_ia0511en.pdf

Fewsnet – West africa price bulletin
MAY 2011 – http://www.fews.net/docs/Publications/West%20Africa_2011_05%20Eng.pdf

Afrique Verte : Point sur la sécurité alimentaire N°121
Début mai 2011 – http://www.afriqueverte.org/r2_public/media/fck/File/Bulletins/PSA/PSA-121-05-2011.pdf
Tendance à la hausse des prix au Niger, stable au Burkina et au Mali

Réseau des Systèmes d’Information des Marchés en Afrique de l’Ouest
Réactualisé tous les 14 jours – http://www.resimao.org/html
Updated every 14 days – http://www.resimao.org/html/en

FAO : Rice price update/ Mise à jour des prix du riz
MAY 2011 – http://www.fao.org/economic/est/publications/rice-publications/the-fao-rice-price-update/en/
MAI 2010 – http://www.fao.org/economic/est/publications/publications-sur-le-riz/rapport-de-mise-a-jour-des-prix-du-riz-de-la-fao/fr/

FAO : Rice market monitor /Suivi du marché du riz
APRIL 2011 – http://www.fao.org/economic/est/publications/rice-publications/rice-market-monitor-rmm/en/
AVRIL 2011 – http://www.fao.org/economic/est/publications/publications-sur-le-riz/suivi-du-marche-du-riz-smr/fr/

Tendances mondiales / World tendencies

FOOD: Rice is king, but at a price
JUNE 2, 2011 – http://www.irinnews.org/report.aspx?reportid=92873
Most of us, when we worry about food prices, think short term – the price today compared with yesterday; the chance that the price will have gone up again tomorrow. But Oxfam this week risked some long term predictions, and came up with alarming results. They foresaw the steepest rise of all in the price of rice, with rice in China, for instance, becoming 80 percent more expensive by 2020, and 180 percent dearer by 2030.

25 ans après sa création, le rapport Cyclope relate un nouveau choc sur les matières premières
18 MAI 2011 – http://www.rfi.fr/emission/20110518-25-ans-apres-creation-le-rapport-cyclope-relate-nouveau-choc-matieres-premieres
« Les matières premières viennent de connaître un nouveau choc », résume Philippe Chalmin, le directeur de publication du rapport Cyclope, la référence sur le sujet en France. « Un choc équivalent à celui des années 1970 », lorsque le pétrole s’est pour la première fois mis à flamber._ Au cours de l’année écoulée et jusqu’à la récente correction, il y a quelques jours, les prix des matières premières ont effectivement atteint des niveaux historiques, au-delà des records de 2008. Ce fut le cas pour le cuivre, le maïs, l’or et l’argent, le café, le sucre, l’huile de palme, le caoutchouc et bien sûr le coton. La faim du dragon chinois est toujours plus dévorante : après les métaux et les oléagineux, la Chine a débarqué avec fracas sur le marché des céréales en 2010, alors qu’elle était autosuffisante jusque là. Les aléas météo ont aussi bouleversé de nombreux marchés, réduisant dangereusement les stocks. Mis à part le riz – exception remarquable de stabilité des prix du fait de bonnes productions – la situation céréalière est à nouveau sur le fil du rasoir au moment où paraît le rapport.

Le riz thaïlandais au régime sec
17 MAI 2011 – http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2626p074.xml0/
La Thaïlande, premier exportateur mondial de riz, va supprimer l’une de ses trois récoltes annuelles. Selon les spécialistes, les prix ne devraient pas flamber.

Commodafrica : La Chronique Matières du jeudi
15 MAI 2011 – http://www.commodafrica.com/fr/actualites/matieres_premieres/chronique12052011
Les prix du riz sur les marchés asiatiques sont demeurés relativement stables cette semaine, la demande n’étant guère dynamique à l’exception de l’Afrique pour du riz parboiled : 200 000 t auraient été vendues par la Thaïlande à des opérateurs pour l’Afrique, livrables en mai.

5 MAI 2011 – http://www.commodafrica.com/fr/actualites/matieres_premieres/mp05052011
Relative stabilité des cours mondiaux du riz en avril constate Patrico Mendez del Villar dans son dernier rapport mensuel, car les disponibilités exportables demeurent abondantes et les perspectives de production mondiale optimistes. Si les prix à l’exportation ont reculé aux Etats-Unis et en Thaïlande, ils ont en revanche augmenté au Vietnam sous l’effet d’une hausse des coûts de production. Cette semaine, les prix du riz en Asie sont demeurés à des niveaux relativement élevés avec au Vietnam des prix en légère hausse soutenus par des demandes de chargement – les embarquements pour mai-juin sont attendues à 900 000 tonnes – et en Thaïlande la perspective d’une intervention du gouvernement avant l’élection prochaine fin juin ou début juillet. _ Dans une première estimation donnée lundi dernier, la FAO estime que la production mondiale de riz devrait atteindre 480 millions de tonnes (Mt) en 2011, soit 3% de plus qu’en 2010. ”L’essentiel de l’augmentation est de nouveau attendue en Asie, avec une production qui devrait également augmenter en Europe, en Océanie, en Amérique latine et dans les Caraïbes», En revanche, peu de changements sont attendus en Afrique tandis que les perspectives sont négatives aux Etats-Unis. _ La production en Asie devrait enregistrer une croissance de 3 à 434 Mt, stimulée par de fortes hausses en Chine et en Inde et une reprise au Pakistan. La production en Amérique latine et dans les Caraïbes devraient rebondir de 9,2 à 29,2 Mt, soutenue par une forte reprise dans la partie sud du continent. Les perspectives sont également positives pour l’Australie, qui pourrait enregistrer sa plus importante récolte depuis 2006, l’Union européenne et la Fédération de Russie. Toutefois, la FAO a indiqué que les producteurs américains devraient se détourner du riz au profit de cultures plus rentables et la production pourrait chuter de 15%.

Événements / Events

Atacora-Dongo : Foire du riz
1 MAI 2011 – http://crrmc.ilemi.net/spip.php?article124
Dans son engagement pour la promotion de la filière riz au Bénin, l’Union Régionale des Producteurs de Riz de l’Atacora et de la Donga a organisé du 21 au 23 avril 2011 une foire exclusivement dédiée aux produits de la filière. Le documentaire ci-dessous résume le déroulement de la foire.

Recherche / Research

IRRI and Japan launch rice training program for Africa
18 MAI 2011 – http://irri.org/news-events/media-releases/irri-and-japan-launch-rice-development-training-program-for-africa
Japan has decided to provide US$4 million to train Africans in rice research and extension. The newly launched Season-Long Farming Training Program for Africa’ will help develop sustainable rice production systems and meet Africa’s growing demand for rice.

Climat : Un projet pour créer des variétés de riz résistantes aux insectes et à des sols salinisés
8 MAI 2011 – http://afrique.kongotimes.info/climat/projet-creer-varietes-riz-resistantes-insectes-sols-salinises.html
Un mémorandum de coopération dans l’étude sur l’adaptation au changement climatique, la sécurité vivrière, qui concerne notamment le riz, a été récemment conclu entre le Vietnam et la Grande-Bretagne.

Dynamisation de la politique semencière en Afrique de l’ouest: Lueur d’espoir pour l’agriculture sous-régionale
6 MAI 2011 – http://www.actubenin.com/2011/?Dynamisation-de-la-politique
Le Fonds des Nations-Unies pour l’alimentation (Fao) et le Centre de riz pour l’Afrique organisent depuis hier, un atelier régional sur la politique semencière. 4 missions sont assignées à la vingtaine d’experts de la Cedeao. Durant les 48 heures. « Les semences constituent un maillon très important de toute chaîne de valeur agricole.

Augmenter la production grâce aux gènes du riz africain
MAI 2011 – http://www.ird.fr/la-mediatheque/fiches-d-actualite-scientifique/373-augmenter-la-production-grace-aux-genes-du-riz-africain
Troisième céréale mondiale en termes de production après le blé et le maïs, le riz est la première en termes d’alimentation humaine : il constitue la base de l’alimentation de la moitié de l’humanité. Les 155 millions d’hectares de rizières cultivées dans le monde, essentiellement en zone intertropicale, produisent environ 660 millions de tonnes de riz par an. Mais pour demeurer la clé de voûte de la sécurité alimentaire, la production devra doubler à l’horizon 2030.

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