Cet article est uniquement disponible en Anglais.

publié dans Ressources le 22 novembre 2024

The Land Story – Country experiences with reporting on land degradation and drought

WOCAT/United Nations Convention to Combat Desertification (UNCCD)

Changement climatiqueSols et gestion de la fertilitéGestion des connaissancesNigerAfrique du SudTurquieEtude, rapport

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WOCAT, son partenaire de consortium Centre for Development and Environment et l’UNCCD ont lancé une nouvelle publication qui partage les idées et les méthodologies de 30 pays qui ont contribué à améliorer les rapports sur la dégradation des terres et la sécheresse. En voici quelques points saillants :

Le Niger, acteur clé de l’initiative de la Grande Muraille Verte, a pris des mesures significatives pour inverser la dégradation des terres au cours des dernières décennies. Entre 2015 et 2019, le pays a rapporté une réduction de près de 5 millions d’hectares de terres dégradées.

Le Panama a réuni des parties prenantes de différents secteurs dans le cadre d’un atelier collaboratif afin de sélectionner des cartes d’occupation des sols adaptées aux contextes locaux. Cette approche a permis d’améliorer la précision des données par rapport aux ensembles de données mondiales et d’accroître la confiance nationale dans les estimations de la dégradation.
Le Bhoutan a combiné les connaissances d’experts avec des données de terrain pour aligner les cartes de productivité des terres sur les conditions spécifiques du pays. Des statistiques détaillées sur les zones touchées par les incendies de forêt, les infestations, l’extraction de bois et l’exploitation minière ont permis d’améliorer la précision des rapports.
En se concentrant sur la santé des sols, la Turquie a développé différents facteurs de conversion spécifiques à chaque région pour estimer les variations du carbone organique du sol (SOC) résultant des changements de l’occupation des sols. Cette méthode innovante a permis une évaluation plus précise des variations du COS à l’échelle nationale.
En utilisant des données infranationales ventilées par sexe sur les indicateurs sociaux, économiques et d’infrastructure, l’Afrique du Sud a suivi les tendances de la vulnérabilité à la sécheresse depuis 2014. Cette approche fondée sur les données permet d’avoir une vision nuancée des causes de la sécheresse et de soutenir une planification personnalisée de la résilience pour différentes régions.

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