Au Togo, la culture de tubercules a actuellement le vent en poupe. Illustration de cette tendance, la production de manioc est passée de 911 642 tonnes en 2012 à 959 889 tonnes en 2013, tandis que celle de l’igname a augmenté de 133 332 tonnes pour atteindre 864 408 tonnes sur la même période. Quant à la récolte de patate douce, elle a presque triplé en se situant à 19 957 tonnes en 2013, contre 6807 tonnes un an plus tôt.
Ces bonnes performances sont les retombés de l’engagement du gouvernement togolais à promouvoir la culture des tubercules dans le pays par le biais du Projet de développement des plantes à racines et tubercules, plus communément désigné sous le sigle PRT.