« Dans les pays les moins avancés, la hausse des cours mondiaux n’aura pas partout un impact négatif. ». La directrice d’Afrique verte estime que la hausse des cours des céréales pourrait favoriser le développement des cultures vivrières locales. Celles-ci semblent remises au goût du jour depuis que l’engouement pour la production du coton a montré qu’il n’avait pas tenu toutes ses promesses.