Dans ce dernier épisode, Guillaume Amadji, enseignant-chercheur en sciences du sol, défend une recherche africaine ancrée localement et connectée globalement. Il souligne l’importance des partenariats internationaux (CIRAD, IRD) pour valoriser les travaux africains. Trois axes clés émergent : fertilisation adaptée, autonomisation des filières locales comme l’ananas, et ouverture des universités africaines à la coopération scientifique mondiale.
Vidéo, FARM, septembre 2025




