L’examen de l’OMC met en exergue le rôle important de l’agriculture dans les économies de la Guinée-Bissau, du Togo et de la Côte d’Ivoire. Il souligne que, depuis la crise des prix des denrées alimentaires de 2008, les trois gouvernements – étant donné leur forte dépendance à l’égard des importations de denrées de base telles que les céréales – ont pris des mesures pour atténuer les pressions inflationnistes, telles que la suspension des droits de douane et de la TVA à l’importation. Les pouvoir publics sont également intervenus pour soutenir la production vivrière par « l’apport d’engrais, de semences et d’autres intrants à des prix subventionnés ».