Ce rapport de l’Oakland Institute expose les liens profonds et contre-intuitifs entre la conservation, l’extraction des ressources naturelles et les abus envers les peuples autochtones dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC).
Depuis plusieurs décennies, la conservation de la nature dans le pays donne lieu à l’accaparement des terres et à la violence contre les communautés autochtones. Les mesures prises ces dernières années, telles que la formation, la mise en place de mécanismes de plainte, et les garanties sociales, paraissent inadéquates compte tenu de la nature systémique des problèmes du modèle actuel de conservation-forteresse.