L’un des mandats du CILSS est de poursuivre le processus d’élaboration d’une feuille de route consensuelle pour la mise en oeuvre d’une charte foncière sous-régionale avec l’ensemble des acteurs du processus et principalement l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et la CEDEAO, a-t-il souligné.
M. Traoré a indiqué que la mise en valeur d’énormes potentialités en ressources naturelles de certains pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest reste encore timide à cause de contraintes liées au manque de main-d’œuvre qualifiée, au coût élevé de l’énergie, à l’instabilité socio-politique et l’inadaptation de la législation en la matière.