Pour « deux canards morts », les produits des aviculteurs camerounais ont d’abord été boycottés par les consommateurs frappés de psychose, avant d’être eux-mêmes frappés d’interdiction d’importation par les pays voisins. L’Interprofession avicole se bat pour la relance de la filière, demande l’appui du gouvernement et explique pourquoi une pénurie se profile d’ici le mois de septembre.