Le doute n’est plus permis. Une période de disette menacerait d’ores et déjà la campagne marocaine. La prochaine récolte céréalière permettrait tout au plus une soudure de deux à trois mois. En attendant, « le flou règne parmi l’interprofession ». Faut-il toujours protéger la production nationale en taxant à 60 % les importations ou diminuer pour tenir compte du coût à la hausse des céréales sur le marché mondial ?